A Bradfield, commune anglaise, un tueur en série sévit en massacrant des homosexuels à l’aide d’engins de torture inouïs. Son surnom est vite donné par la presse : le Bricoleur. Toute la police se met sur ses traces, notamment Carol Jordan, inspectrice de la criminelle, ainsi qu’un profileur, Tony Hill, dont les théories peuvent permettre l’arrestation du coupable. Ce sera le début d’une traque qui les marquera à jamais.
Avec ce premier opus mettant en scène Carol Jordan et Tony Hill, Val McDermid signe un thriller brillant. L’écriture est très élégante, et les chapitres alternent avec ingéniosité entre les points de vue des enquêteurs et les écrits laissés par l’assassin. Les personnages sont convaincants, du premier au dernier rang. Par ailleurs, la touche de psychologie utilisée par Val McDermid pour les rendre crédibles et humains est indéniable. Cette enquête offre son lot de rebondissements jusqu’à l’affrontement final, très marquant. Il est d’ailleurs à noter que certaines scènes de torture pourront gêner des lecteurs impressionnables. Le récit emprunte des voies exploitées dans d’illustres thrillers passés comme Dragon Rouge tout en assumant pleinement cet héritage, et ravira donc les amateurs du genre.
Au final, Le chant des sirènes est un très bon thriller, une magnifique ouverture pour la suite des investigations menées par Jordan et Hill, La fureur dans le sang et La souffrance des autres.
A Bradfield, commune anglaise, un tueur en série sévit en massacrant des homosexuels à l’aide d’engins de torture inouïs. Son surnom est vite donné par la presse : le Bricoleur. Toute la police se met sur ses traces, notamment Carol Jordan, inspectrice de la criminelle, ainsi qu’un profileur, Tony Hill, dont les théories peuvent permettre l’arrestation du coupable. Ce sera le début d’une traque qui les marquera à jamais.
Avec ce premier opus mettant en scène Carol Jordan et Tony Hill, Val McDermid signe un thriller brillant. L’écriture est très élégante, et les chapitres alternent avec ingéniosité entre les points de vue des enquêteurs et les écrits laissés par l’assassin. Les personnages sont convaincants, du premier au dernier rang. Par ailleurs, la touche de psychologie utilisée par Val McDermid pour les rendre crédibles et humains est indéniable. Cette enquête offre son lot de rebondissements jusqu’à l’affrontement final, très marquant. Il est d’ailleurs à noter que certaines scènes de torture pourront gêner des lecteurs impressionnables. Le récit emprunte des voies exploitées dans d’illustres thrillers passés comme Dragon Rouge tout en assumant pleinement cet héritage, et ravira donc les amateurs du genre.
Au final, Le chant des sirènes est un très bon thriller, une magnifique ouverture pour la suite des investigations menées par Jordan et Hill, La fureur dans le sang et La souffrance des autres.