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8/10 La collègue, qui m’a fait découvrir cet auteur et qui m’a conseillé de prendre la série des Victor Lessard dans l’ordre chronologique, avait grande difficulté à m’en parler…. pour les mêmes raisons que je vais avoir pour vous en parler. Car comment vous faire partager le goût de le lire sans en divulguer le moindre indice de l’énigme sous-jacente.
Disons que tout comme l’héroïne au début du livre, nous sommes un peu perdus : lisons-nous une description de rêves, de la réalité, de fantasmes, serions-nous dans un livre à la David Lynch, ou bien l’héroïne est-elle victime d’altération ou a subi une modification de la mémoire; serions-nous dans un récit de Chris Carter des X-Files. Bref nous sommes dans le flou….
Et que vient faire ce tueur que recherche Victor Lessard ?
Bien que Martin Michaud sache donner au compte-gouttes les indices, son histoire progresse de façon régulière avec de fréquents rebondissements. On apprend à connaître cet enquêteur et son équipe, les relations qui les unissent et leur passé.
La lecture de Il ne faut pas parler dans l’ascenseur est très agréable, fluide, et parfois comique : point de traduction ou de francisation du livre, le lecteur aura la joie de découvrir certaines expressions québécoises pur-jus.
Donc un roman très intéressant et un auteur dont nous prendrons plaisir à lire les autres tomes de la série des Victor Lessard.29/03/2016 à 20:36 QuoiLire (361 votes, 6.7/10 de moyenne) 2
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7/10 Mon premier livre de Martin Michaud. Plutôt agréable à lire et bien structuré. Des personnages attachants (Simone en particulier). Un flic avec une personnalité bien trempée (Lessard) qu'on suivra sur plusieurs livres. Une enquête mêlant le fantastique à la réalité. Une fin un peu prévisible.
02/05/2015 à 09:26 Luzlïa (206 votes, 7.8/10 de moyenne) 1