A notre première rencontre, elle s'était montrée plutôt réfrigérante ; à la seconde, elle avait un joli trou au milieu du front à la troisième, elle s'était envolée ; à la quatrième, son cadavre dégringola du placard de ma propre penderie quand j'ouvris la porte.
Et voilà ce qui me valut d'avoir mon portrait dans les journaux avec la légende : " Le tueur court encore..."
On en parle sur le forum : Les romans de Carter Brown (Série Noire)
Soumis le 17/03/2015 par LeJugeW