Jeremy Davenport est un jeune étudiant américain qui souhaite faire la connaissance de son grand-père, Kurt Steiner, qu'il n'a jamais connu. Mais à son arrivée en Allemagne, il apprend que le vieil homme est mort. Intrigué par ce décès, Jeremy essaie d'en apprendre plus à son sujet et découvre que Steiner était lié à trois autres associés qui avaient rapidement fait fortune par le passé. Alors que les morts violentes se succèdent, Jeremy est amené à côtoyer des secrets bien étranges. Quel est ce fameux "phare des chimères" ? Quel est le lien avec ces courses de chevaux qui réussissaient tant aux quatre Allemands ? Avec le trafic de tableaux ? Avec ces enfants victimes de malformations ?
Avec Amères désillusions, Jérôme Bucy a signé un ouvrage très réussi. L'écriture est de grande qualité et offre une galerie de personnages nombreux et intéressants. L'auteur fait voyager le lecteur – Italie, Allemagne, Indonésie –, ce qui offre de nets regains d'intérêt. Par ailleurs, l'intrigue est beaucoup plus complexe que ne le laisse augurer le résumé de la quatrième de couverture, avec un grand nombre de fausses pistes, et ce jusqu'à l'épilogue, très bien amené et inattendu. Il est cependant dommage que certains éléments scientifiques de l'histoire ne soient pas très convaincants, ce qui nuit à la crédibilité du livre.
Amères désillusions est un donc roman à suspense de grande qualité, et inscrivant d'emblée Jérôme Bucy parmi les jeunes auteurs français à suivre de près, avec ses autres romans tels que Jérusalem interdite ou La chambre d'ambre.
Jeremy Davenport est un jeune étudiant américain qui souhaite faire la connaissance de son grand-père, Kurt Steiner, qu'il n'a jamais connu. Mais à son arrivée en Allemagne, il apprend que le vieil homme est mort. Intrigué par ce décès, Jeremy essaie d'en apprendre plus à son sujet et découvre que Steiner était lié à trois autres associés qui avaient rapidement fait fortune par le passé. Alors que les morts violentes se succèdent, Jeremy est amené à côtoyer des secrets bien étranges. Quel est ce fameux "phare des chimères" ? Quel est le lien avec ces courses de chevaux qui réussissaient tant aux quatre Allemands ? Avec le trafic de tableaux ? Avec ces enfants victimes de malformations ?
Avec Amères désillusions, Jérôme Bucy a signé un ouvrage très réussi. L'écriture est de grande qualité et offre une galerie de personnages nombreux et intéressants. L'auteur fait voyager le lecteur – Italie, Allemagne, Indonésie –, ce qui offre de nets regains d'intérêt. Par ailleurs, l'intrigue est beaucoup plus complexe que ne le laisse augurer le résumé de la quatrième de couverture, avec un grand nombre de fausses pistes, et ce jusqu'à l'épilogue, très bien amené et inattendu. Il est cependant dommage que certains éléments scientifiques de l'histoire ne soient pas très convaincants, ce qui nuit à la crédibilité du livre.
Amères désillusions est un donc roman à suspense de grande qualité, et inscrivant d'emblée Jérôme Bucy parmi les jeunes auteurs français à suivre de près, avec ses autres romans tels que Jérusalem interdite ou La chambre d'ambre.