Un tueur en série sévit dans l’Espagne actuelle et le message qu’il veut faire passer s’appuie sur des évènements du passé. En retraçant l’histoire de l’Espagne, un enquêteur dont sa compagne a fait partie des victimes, parvient à anticiper les futurs rendez-vous mortels du tueur.
Son but : en empêcher le plus possible en sachant que le tueur ne va pas tuer indéfiniment. Le compte à rebours a démarré.
Particulièrement bien documenté sur ses sujets (l’inquisition, l’Espagne, la religion, le satanisme…) peut-être même un peu trop parfois, Daniel Angelo nous prend par la main et nous amène vers des limbes où il ne ferait pas bon traîner en temps normal.
Construit sur de très courts chapitres de 4-5 pages, où le lieu, le personnage principal et les « voix off » sont à chaque fois des surprises, l’histoire ne subit aucun temps mort. Sans histoire secondaire, le rythme est donc soutenu et c’est peut-être, le fait de ne pas avoir de « quête annexe », le seul bémol que l’on pourrait trouver à ce livre. Presque trop direct. Mais je chipote.
Les chapitres sont généralement introduits par une vision circulaire du lieu où va se dérouler l’action. Avec un style déroutant au début (phrases nominales à tout rompre, notamment), Daniel Angelo est un auteur qu’il est bon de découvrir maintenant, pour qu’à l’avenir on puisse se vanter fièrement dans les diners mondains du futur : « Angelo ? Ah bein oui, carrément, ce mec qui vend des bouquins à tour de bras. J’avais lu son premier livre et j’avais adoré. »
Un tueur en série sévit dans l’Espagne actuelle et le message qu’il veut faire passer s’appuie sur des évènements du passé. En retraçant l’histoire de l’Espagne, un enquêteur dont sa compagne a fait partie des victimes, parvient à anticiper les futurs rendez-vous mortels du tueur.
Son but : en empêcher le plus possible en sachant que le tueur ne va pas tuer indéfiniment. Le compte à rebours a démarré.
Particulièrement bien documenté sur ses sujets (l’inquisition, l’Espagne, la religion, le satanisme…) peut-être même un peu trop parfois, Daniel Angelo nous prend par la main et nous amène vers des limbes où il ne ferait pas bon traîner en temps normal.
Construit sur de très courts chapitres de 4-5 pages, où le lieu, le personnage principal et les « voix off » sont à chaque fois des surprises, l’histoire ne subit aucun temps mort. Sans histoire secondaire, le rythme est donc soutenu et c’est peut-être, le fait de ne pas avoir de « quête annexe », le seul bémol que l’on pourrait trouver à ce livre. Presque trop direct. Mais je chipote.
Les chapitres sont généralement introduits par une vision circulaire du lieu où va se dérouler l’action. Avec un style déroutant au début (phrases nominales à tout rompre, notamment), Daniel Angelo est un auteur qu’il est bon de découvrir maintenant, pour qu’à l’avenir on puisse se vanter fièrement dans les diners mondains du futur : « Angelo ? Ah bein oui, carrément, ce mec qui vend des bouquins à tour de bras. J’avais lu son premier livre et j’avais adoré. »