Depuis 2001, Harlan Coben écrit tous les ans un nouveau roman en utilisant presque à chaque fois les mêmes ingrédients. L'opus de 2007, Dans les bois, ne déroge pas à la règle. En quelques pages, le lecteur se retrouve en terrain familier et identifie très rapidement les thèmes chers à Coben : la famille, la perte d'un être aimé, les regrets et remords du passé...
Ce roman présente l'histoire du procureur Paul Copeland qui, alors qu'il était adolescent, avait négligé ses devoirs et laissé sa soeur s'aventurer dans les bois en compagnie d'autres jeunes. Tous avaient été les victimes d'un tueur en série. 20 ans plus tard, le passé, ses questions et ses menaces refont surface...
Un sentiment de déjà-vu ? Oui, indéniablement. Pourtant, Coben tire parfaitement son épingle du jeu. En quelques phrases, il parvient à capter notre attention, aiguiser notre curiosité et nous donne envie de tourner les pages pour découvrir le fin mot de l'histoire. Au final, tout n'est pas forcément parfaitement crédible, mais le côté divertissant de l'ensemble fait sans peine oublier les éventuelles incohérences.
Le personnage principal, Paul Copeland, fait souvent penser à Myron Bolitar, le héros récurrent des premiers romans de Coben. Son charisme, son aplomb et sa répartie sont un élément positif du récit, au même titre que les scènes de tribunal qui sont agréables à suivre même si elles ne font pas fondamentalement avancer l'intrigue.
Au final, Coben réussit une fois encore à embarquer son lecteur dans les méandres alambiquées de son histoire sur près de 500 pages, sans violence ni hémoglobine. Même s'il a des difficultés pour se renouveler, Harlan Coben atteint ainsi tout à fait son objectif.
Depuis 2001, Harlan Coben écrit tous les ans un nouveau roman en utilisant presque à chaque fois les mêmes ingrédients. L'opus de 2007, Dans les bois, ne déroge pas à la règle. En quelques pages, le lecteur se retrouve en terrain familier et identifie très rapidement les thèmes chers à Coben : la famille, la perte d'un être aimé, les regrets et remords du passé...
Ce roman présente l'histoire du procureur Paul Copeland qui, alors qu'il était adolescent, avait négligé ses devoirs et laissé sa soeur s'aventurer dans les bois en compagnie d'autres jeunes. Tous avaient été les victimes d'un tueur en série. 20 ans plus tard, le passé, ses questions et ses menaces refont surface...
Un sentiment de déjà-vu ? Oui, indéniablement. Pourtant, Coben tire parfaitement son épingle du jeu. En quelques phrases, il parvient à capter notre attention, aiguiser notre curiosité et nous donne envie de tourner les pages pour découvrir le fin mot de l'histoire. Au final, tout n'est pas forcément parfaitement crédible, mais le côté divertissant de l'ensemble fait sans peine oublier les éventuelles incohérences.
Le personnage principal, Paul Copeland, fait souvent penser à Myron Bolitar, le héros récurrent des premiers romans de Coben. Son charisme, son aplomb et sa répartie sont un élément positif du récit, au même titre que les scènes de tribunal qui sont agréables à suivre même si elles ne font pas fondamentalement avancer l'intrigue.
Au final, Coben réussit une fois encore à embarquer son lecteur dans les méandres alambiquées de son histoire sur près de 500 pages, sans violence ni hémoglobine. Même s'il a des difficultés pour se renouveler, Harlan Coben atteint ainsi tout à fait son objectif.