L'ingénieur aimait trop les chiffres

5 votes

  • 6/10 C’est l’effervescence à l’usine atomique. Lors de la pause-déjeuner, l’ingénieur Sorbier appelle au secours. Ses collègues montent en à peine une dizaine de secondes à son bureau mais ils ne font que trouver le corps sans vie de Sorbier. Mais aucune trace de l’agresseur qui, au regard de la configuration de la pièce, n’a pas pu disparaître, ni passer inaperçu.
    Le commissaire Mareuil arrive sur place et constate que ce meurtre a été réalisé dans des conditions impossibles pour tout être humain. De plus, le tube contenant l’expérimentation atomique a disparu. Une enveloppe envoyée en recommandé à Sorbier fait peser les premiers soupçons sur son ex chauffeur. Mais très vite, le mystère va s’épaissir…

    Fan du duo, je poursuis la découverte de l’œuvre de ces talentueux comparses. Après Six crimes sans assassin, je retombe sur un roman « énigme en chambre close ». Un thème désuet et bien sûr démodé qui a rendu poussive ma lecture. Pour les amateurs du genre.

    19/04/2023 à 13:21 JohnSteed (552 votes, 7.7/10 de moyenne) 3

  • 6/10 Un bon roman sur le meurtre en milieu clos, avec en fait quatre énigmes à la clef. Si j’en ai apprécié les résolutions ainsi que le style général, dépouillé au possible, je regrette de ne pas avoir été emporté comme dans certains romans de Paul Halter ou de John Dickson Carr par la maestria des raisonnements ou l’ingéniosité suprême du criminel. Ici, tout est un peu austère et, sans porter la moindre ombre à l’œuvre faramineuse des deux auteurs réunis, dilettante, d’autant que quelques ficelles sont facilement devinables.

    03/11/2014 à 18:35 El Marco (3221 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

  • 9/10 Parmi mes auteurs de polars préférés en France.

    16/09/2012 à 19:08 Henri65 (63 votes, 9/10 de moyenne)

  • 9/10 Une histoire passionnante, qui non seulement nous donne une intrigue incroyablement bien ficelée, mais en plus nous plonge dans l'atmosphère des années 60.

    27/03/2010 à 23:56 farvardin (2 votes, 8.5/10 de moyenne)

  • 8/10 Boileau et Narcejac renouent ici avec un thème cher à Boileau: le problème de chambre close.
    Réussi !

    01/04/2007 à 17:25 pgrosjean (1134 votes, 7.8/10 de moyenne)