Ceux qui prennent le large

(Those Who Walk Away)

Du chagrin, du regret de n'avoir pas deviné son intention et su empêcher sa jeune femme de se suicider, voilà en gros ce que ressent Ray Garrett - mais pas de remords comme le sous-entend son beau-père, le peintre Edouard Coleman.
Tout se passe comme si Coleman le jugeait responsable du suicide de Peggy et avait décidé de venger sa fille. Sinon comment expliquer qu'il tire sur Ray dans une rue sombre de Rome et, croyant l'avoir tué, part sans se retourner ?
Blessé très légèrement, Ray est plus surpris que furieux. L'attitude de Coleman se fonde sur un malentendu que Ray veut essayer de dissiper et il le rejoint à Venise.
Loin de se démonter en le voyant, Coleman saute sur la première occasion pour renouveler sa tentative de meurtre. Sauvé de justesse de la noyade par un gondolier, Ray comprend qu'il s'est jeté dans la gueule du loup et sa première réaction est de se terrer dans Venise. Sous un faux nom.
Par peur et lassitude ou par machiavélisme instinctif et désir de laisser inculper de meurtre son beau-père quand la police s'inquiétera de sa disparition ? C'est plus compliqué que cela et une étrange partie de cache-cache s'engage…

Roman à suspense

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Soumis le 27/01/2015 par LeJugeW

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