Furieux, Eusebio allait bondir vers son chef et le secouer jusqu'à ce qu'il reprenne conscience, lorsqu'une voix le cloua sur place :
— Inutile, Eusebio. Il est mort.
— Ce n'est pas vrai !
Une seconde plus tard, le péon réalisa avec terreur qu'ils n'étaient plus seuls. Sa fureur tomba d'un coup et il se prit à tressaillir. Le squelette dans son habit chamarré, le corps inanimé du matador, la nuit qui envahissait la masure, passe encore, mais cette voix venue de nulle part c'était trop,
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Soumis le 25/01/2015 par LeJugeW