Le cri ! Ce cri ! Strident, terrible. Pas crescendo, mais constant, une fréquence qui s'insinuait dans le crâne de Feuer. Ce cri qui emplissait l'air. Les yeux de la bête étaient hagards : la peur de la mort. «On se dépêche un peu, ces messieurs», cria le boucher. Feuer aussi a intérêt à se dépêcher pour échapper au carnage qui s'abat sur les raffineries de sucre, les abattoirs, les magasins bio, les cabinets de dentiste, les laboratoires de recherche agro-alimentaire... et surtout à la fatale Leïla. Mais pour cela, il faudrait déjà qu'il y comprenne quelque chose !
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Soumis le 17/01/2015 par LeJugeW