25 votes
-
9/10 Drôle et noir, drôlement noir, noirement drôle, ce premier roman de Jake Hinkson est de ces petites merveilles qu'on ne peut reposer une fois qu'on a mis le nez dedans. C'est tout simplement irrésistible ! L'auteur pratique l’art du rebondissement inattendu avec une facilité d’autant plus réjouissante qu’il n’en rajoute jamais ; le récit prend des virages serrés sans jamais crisser des pneus, comme si tout y était parfaitement naturel (ce qui n’est pas souvent le cas).
Un petit bijou (superbement traduit par Sophie Aslanides), cruel et réjouissant, qui se dévore sans trêve. A ne pas manquer !20/04/2015 à 20:15 Dodger (471 votes, 7.7/10 de moyenne) 12
-
7/10 L'Enfer de Church Street est un court roman nerveux où les cyniques et les truands se servent des plus faibles. Mais sous la plume sarcastique de Jake Hinkson, les plans les mieux huilés peuvent déraper très vite...
08/04/2015 à 16:29 gilmoutsky (50 votes, 8.1/10 de moyenne) 5
-
10/10 Moment de lecture excellent ! Noir, drôle, cynique, anti-clérical : tout ce que j'aime. J'ai hâte de découvrir d'autres romans de cet auteur au talent incontestable.
06/04/2015 à 20:28 Ssarlotte (522 votes, 7.1/10 de moyenne) 10
-
8/10 Geoffrey Webb, le "héros" de ce roman vénéneux porte bien son nom. Un peu comme dans le Diable, tout le temps, les personnages représentent différentes espèces de prédateurs, qui se croisent et qui tentent chacun leur tour de se dévorer. Webb est patient comme l'araignée attendant que ses futurs victimes viennent se coller à sa toile.
Une fable d'une grande noirceur qui se dévore presque d'une traite.
Le parfait étendard pour la nouvelle collection Néonoir des éditions Gallmeister.
17/03/2015 à 09:12 Fredo (1202 votes, 7.9/10 de moyenne) 9
-
7/10 Roman noir implacable à l'ambiance oppressante. Une galerie de personnages hauts en couleurs et des situations parfois proches du burlesque. A lire comme on retire un pansement d'une plaie: D'une traite! Un vrai plaisir.
06/03/2015 à 00:28 OttisToole (283 votes, 7.1/10 de moyenne) 5