Les revolvers, c'était la faute à Baudelaire et les lingots, la faute à Rimbaud... Ni dans la ligne, ni dans la marge, leurs mauvais coups s'étaient écrits à l'encre sympathique des années soixante-dix... Graines d'anars contre partouzards et barbouzards. Vingt ans après, les voilà qui rappliquent, les bouffeurs de jeunesse, les marchands de mort et les chercheurs d'or. Mais les armes n'ont pas rouillé, la colère non plus. Et c'est un flic qui compte les cadavres. Un enfoiré de poète ! Putains de pigeons.
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Soumis le 04/01/2015 par LeJugeW