« Là où tant d'autres avaient cru pouvoir accommoder la politique en de petites historiettes criminelles (ne citons aucun nom, une chronique entière n'y suffirait pas), Díez, authentique poète de la prose, visionnaire donc, traitait la dictature des généraux argentins à la manière d'une fable désopilante et tragique. »
Gérard Guégan
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Soumis le 03/01/2015 par LeJugeW