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8/10 Un polar surprenant, un peu lent mais un intrigue bien ficelé.
Un personnage principal tiraillé entre deux cultures qui ne manque pas de profondeur25/04/2017 à 07:53 tduvi (405 votes, 7.5/10 de moyenne) 2
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8/10 Un polar ethnique qui a pour cadre l'Alaska et la place,compliquée à se faire, des communautés inupiats dans la société moderne. C'est la 1ère histoire avec Nathan Active jeune flic partagé entre ses origines biologiques et l'éducation inculquée par ses parents adoptifs; et qui se retrouve affecté dans le patelin où il a vu le jour.
Un polar intelligent,subtil sur fond de croyances esquimaudes avec des personnages bien campés dans la lignée de ceux de Craig Johnson. le parallèle entre ses indiens et les esquimaux est criant de ressemblance.
J'espère que nous aurons la traduction des autres romans de Stan Jones22/12/2016 à 12:00 Fab (882 votes, 8/10 de moyenne) 3
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8/10 Ce titre peut paraître stupide ou naïf, mais c'est en fait la traduction d'un terme inupiaq (langage des inupiat, plus couramment appelés Esquimau) désignant un personnage de leur folklore. Ceci est le premier tome d'une série mettant en scène Nathan Active, Inupiaq lui-même mais adopté dès la naissance par des Blancs, ce qui explique qu'il n'est pas totalement familier avec la culture de ses ancêtres.
Au-delà de l'intrigue policière, L'homme qui tue les gens est une peinture de l'Alaska contemporain. On est immédiatement charmé par les personnages secondaires pour la plupart attachants: Martha, la mère de Nathan, Jim Silver, le chef de la police municipale, Kinnuk Wilson, le jeune dealer désoeuvré et Tillie Miller, la vieille folle qui souffre autant de l'alcool que de solitude. L'humanité chaleureuse qu'ils portent en eux nous fait oublier le vent glacial, cet autre personnage impitoyable et omniprésent.15/02/2015 à 15:26 gilmoutsky (50 votes, 8.1/10 de moyenne) 1