1871 — 1943
Dans ses jeunes années, il collabora à L'Humanité. Pendant la Première Guerre mondiale, il donne des échos à L'Heure et des articles à La Rampe, Le sourire, Le Bonnet rouge, Le Journal du Peuple, Le Front.
Il participe à la revue La Baïonnette en 1916 et devient journaliste au Canard enchaîné de 1916 à 1935.
il prend ensuite la rédaction en chef en 1917 du "Le sourire', jusqu'en 1922.
Le directeur du Canard enchaîné, Maurice Maréchal, lance un journal humoristique nommé Le Pélican fin avril 1921, dont Rodolphe Bringer est le rédacteur en chef et directeur-gérant. Ce journal tint quelques mois, puis disparut devant la montée du journal Le Merle Blanc.
Rodolphe Bringer s'éloigne du Canard enchaîné vers 1935.
Il est l'auteur de romans policiers, et d'ouvrages destinés à la jeunesse. Il mourut en 1943, dans sa chère retraite de Gonfle-Boufigue, alias Pierrelatte dans la Drôme.
Autre pseudonyme : J. W. Killbear.