En 2016, Guy Morant pensait être un auteur de jeunesse, écrivant des livres comme Le sachet de bonbons ou le cycle de Lucie Acamas. Ça, c’était avant de découvrir l’univers du polar. Un jour, allez savoir pourquoi, il s’est mis à lire un roman de Jussi Adler Olsen. À sa grande surprise, il a aimé ça. Incurablement infecté par le virus, il s’est mis à avaler compulsivement les histoires les plus sanglantes et les plus lugubres, ne s’arrêtant que pour manger ou pour dormir. Ce qui devait arriver arriva : deux ans plus tard, Effondrements était né.