Titulaire d'un diplôme d'écriture créative à l'université de Montréal, Nina Laurin a quitté la Russie pour le Québec dans son enfance et parle parfaitement russe, anglais et français.
Son premier roman, Vue pour la dernière fois (Presses de la Cité, 2019), un thriller choc qui passe au crible l'Amérique des laissés-pour-compte et réserve aux lecteurs un étourdissant dénouement, s'est hissé en tête des listes des meilleures ventes dès sa parution outre-Atlantique.