René Péron s’est construit un itinéraire entre terrain et recherche au CNRS. L’unité de ces approches, il la trouve dans l’écriture, une activité constante. Commencée en 68 avec un recueil de nouvelles au Mercure de France, régulièrement réactivée jusqu’à aujourd’hui dans Hopala ou à l’Atalante, elle s’est surtout appliquée à attirer l’attention par des enquêtes fouillées en donnant du plaisir.