William Boyle a grandi dans le quartier de Gravesend au sud de Brooklyn où il a situé son roman. Très jeune il s’est intéressé à l’écriture au contact du journaliste Philip Carlo, auteur d’essais sur la pègre américaine. Il revendique les influences de Flannery O’Connor, Larry Brown, Charles Willeford et Harry Crews. Gravesend (Rivages/Noir, 2016) est son premier roman. Il a été publié aux USA par Broken River Books, la maison d'édition spécialisée dans le roman noir fondée par J. David Osborne, lui aussi écrivain et auteur notamment de Que la mort vienne sur moi, également publié chez Rivages en 2016.