1964
Jeune romancière britannique, Laura Wilson s’est imposée, en cinq livres (dont Mon meilleur ami et Une voix disparue, chez Albin Michel), comme une révélation du nouveau roman policier, digne de Ruth Rendell ou de Patricia Highsmith.
1964
Jeune romancière britannique, Laura Wilson s’est imposée, en cinq livres (dont Mon meilleur ami et Une voix disparue, chez Albin Michel), comme une révélation du nouveau roman policier, digne de Ruth Rendell ou de Patricia Highsmith.