1959
Pierre Mangin a toujours écrit. Sur les murs de sa chambre d’enfant, sur des cahiers d’écolier, sur des carnets si secrets qu’aucun avis de recherche n’a permis de les retrouver. Il écrit désormais sur des feuilles volantes qu’il ratisse ensuite quand il n’y a pas trop de vent. Il en fait de jolis petits tas, comme un bon jardinier et shoote dedans comme quand il était gamin. Du coup, certaines se retrouvent dans des tiroirs, d’autres dans des revues, des recueils, quelques-unes sur un blog… Mortelle Envolée s’est retrouvée dans black Berry.