Last Exit to Brooklyn

Brooklyn, le quartier portuaire de Red Hook et sa faune brutale : voyous désoeuvrés cognant à l’aveugle, marins sournois, ouvriers syndicalistes salaces, travestis papillonnant leur fantasme d’amour, prostituées entaulées dans des bars minables. Des vies frustrées, gonflées d’ego, obsédées par le sexe, la violence et l’alcool – qui tournoient dans un lacis de flashs hallucinés. Cru, désespéré, sublimement trash.
Peu de livres ont suscité autant de haine, d'admiration et de polémiques que Last Exit to Brooklyn. À sa sortie en 1964, Allen Ginsberg prédisait que le roman allait « exploser sur l'Amérique comme une bombe infernale qu'on lirait encore cent ans après. » Cette prédiction est en train de s'accomplir : Last Exit est considéré aujourd'hui comme la première manifestation et le testament d'une esthétique totalement inédite à laquelle cette nouvelle traduction rend enfin et brillamment justice. Un classique de la littérature contemporaine et de la littérature tout court.

Roman noir

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Soumis le 01/08/2017 par LeJugeW

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