Sous la lumière cruelle

(Under the bright lights)

3 votes

  • 6/10 Nous évoluons dans un univers glauque, poisseux, c'est plutôt bien décrit. Les dialogues sont imagés, un peu pompeux parfois. J'en garde pas un souvenir immémorable.

    19/12/2015 à 13:03 Polarbear (802 votes, 7.7/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Dans ce roman de 1986, Daniel Woodrell met pour la première fois en scène la fratrie Shade: François, du bureau du procureur; Tip, qui tient le Catfish bar; et René, le héros, policier qui va devoir s'atteler au meurtre d'Alvin Rankin, conseiller municipal noir, qui briguait le poste de maire. Crime raciste ? Méfait d'un cambrioleur ? Règlement de compte ? René Shade, enfant du quartier cajun appelé Frogtown, rencontrera sur sa route des mafieux noirs, des magouilleurs blancs et une petite frappe manipulée qui sera assez chanceux pour s'en tirer au milieu de ce panier de serpents. L'intrigue n'est pas bien épaisse mais le livre non plus, qui nous mène à l'essentiel sans pour autant délaisser la psychologie des personnages ou l'ambiance. On parle beaucoup dans ce polar, comme le souligne James Ellroy dans sa préface, et le résultat serait à mi-chemin entre un roman d'Elmore Leonard, pour la tchatche et l'humour, et les paysages de James Lee Burke, l'action se situant ici à Saint-Bruno, Louisiane.

    02/12/2015 à 14:41 LeeWeel (357 votes, 7.9/10 de moyenne) 1

  • 3/10 daniel woodrell admire beaucoup charles willeford et james lee burke malheureusement pour lui et ses lecteurs il n en a pas le talent.

    26/01/2013 à 16:16 latimer (705 votes, 6.9/10 de moyenne)