Et chaque fois, mourir un peu

Blast

1 vote

  • 6/10 La note est sévère, mais à l'image de mon ras le bol de cette noirceur qui caractérise les romans de Karine Giebel. Au bout d'un moment ça lasse.
    Avec l'histoire de Grégory on a droit à un tour d'horizon de toutes les guerres qui se déroulent sur cette terre (et il y en a croyez moi), avec leurs cortèges de violence, de souffrances et d'atrocités, toutes plus abominables les unes que les autres, rien ne nous est épargné.
    Si on ajoute à ça, la vie personnelle de Grégory qui est un vrai cauchemars, ne cherchez pas une lueur d’espérer.
    A chaque chapitre qui commence on se demande quelle nouvelle misère va arriver.
    On le sait, c'est la marque de fabrique de l'auteure, mais pour moi c'est stop.
    Pour autant, tout n'est pas à jeter. On découvre, ou redécouvre, que l'homme continu à massacrer son prochain un peu partout sur la terre. On loue l'engagement formidable de tous ses humanitaires qui se dépouillent pour apporter de l'aide aux populations en détresse, aux périls de leurs vies (7 tués à Gaza très récemment).
    Très bonne version audio de Thierry Blanc.

    13/04/2024 à 00:49 charlice (351 votes, 7.7/10 de moyenne) 3