Le Passager

55 votes

  • 7/10 C'est du Grangé, donc c'est bon. Le thème est super original et ce concept de " fugues psychiques " très intéressant et ça rend très bien dans le cadre du thriller. Donc super base. Mais je trouve malheureusement que Grangé table sur la facilité, des événements vraiment supers gros ne cessent de s'enchainer et la fin est super expéditive. C'est dommage parce que c'est quand-même un très bon bouquin =).

    02/11/2011 à 22:20 Volokine (118 votes, 6.7/10 de moyenne)

  • 7/10 j'ai aimé le déroulement de l'histoire avec le changement de nom et de vie de chaque personnage, le suspense reste quand même sur la plus grande partie du livre, le passage du bunker est toutefois moyen, çà reste un bon moment de lecture en général

    27/10/2011 à 23:11 BERNIEnoel (136 votes, 7/10 de moyenne)

  • 7/10 Comme signalé plus bas, ça m'a aussi fait penser à du Thilliez par moments... Sinon, j'ai bien accroché à l'intrigue et l'histoire est bien rythmée. Je suis quand même resté sur ma faim avec une fin assez prévisible.

    11/09/2011 à 19:00 d0d0 (135 votes, 7.5/10 de moyenne)

  • 7/10 Toujours un bon moment, Grangé arrive avec talent à nous faire plonger dans son histoire très prenante. Beaucoup de détails, une écriture très agréable, malgré les 750 pages et quelques longueurs. De plus, ce voyage à travers le labyrinthe de la mémoire nous rappelle quelque peu Thilliez...
    Bon cru 2011, allez-y et vivement le prochain

    11/09/2011 à 12:19 jasonkite (248 votes, 6.9/10 de moyenne)

  • 7/10 Angoissant ce thriller ? Comment pourrait-il en être autrement avec Jean-Christophe Grangé !

    27/08/2011 à 22:53 SylvieT (32 votes, 8/10 de moyenne)

  • 7/10 Je retrouve dans ce roman l'art de JC Grangé quand il s'agit de dépeindre des héros tourmentés et enragés mais aussi attachants, comme il l'a si bien fait avec Les Rivières Pourpres (ce qui faisait défaut il me semble dans la Forêt des Mânes). Si il faut dépasser le cap des 150 pages pour que l'histoire s'accélère, il devient difficile de s'arrêter de tourner les pages, jusqu'à la fin. Un très bon cru 2011 même si il semble évident que l'auteur rejoue avec des twists qu'il affectionne.

    22/08/2011 à 23:42 Fredo (1152 votes, 7.9/10 de moyenne) 1

  • 7/10 Un thriller à tiroir qui s'inspire de la mythologie grecque. Le démarrage du récit avec ses personnages fracassés et son inévitable meurtre sophistiqué ne déroge pas aux canons du genre, mais on se laisse vite prendre à cette furieuse cavalcade à travers la France (et les identités). Le dernier quart du livre m'a paru plus en dessous, avec notamment une fin que j'ai trouvé pour ma part trop emphatique, limite grand-guignol.

    03/08/2011 à 11:00 Mephisto (193 votes, 7.2/10 de moyenne)

  • 6/10 Lire un livre de Grangé c’est un peu comme regarder un épisode des Experts. On se laisse embarquer par une histoire bien construite et une narration qui tient la route. Peu importe finalement qui est l’assassin (on est d’ailleurs souvent déçu), on se laisse bercer par le récit et on en profite pour apprendre deux ou trois choses qu’on ignorait. Comme le dit le sage, qu’importe la destination, c’est le chemin parcouru pour y parvenir qui compte vraiment.
    Le Passager ne fait pas exception à la règle. Mathias Freire, le personnage principal, est psychologue à Bordeaux. En prenant en charge un nouveau patient il se rend vite compte qu’il souffre lui même d’une pathologie identique : le passager sans bagages. Cette notion fait référence aux individus qui, pour fuir une réalité insoutenable, prennent la fuite (physiquement et psychologiquement). Après être passé par une courte phase d’amnésie ils finissent pas se réinventer un nom, un métier, un passé.
    Anaïs Chatelet est une jeune capitaine de police au caractère bien trempé. Elle enquête sur un meurtre à consonance mythologique autour du Minotaure. Très vite le destin de ces deux personnages se croisent au travers du patient de Mathias qui a été retrouvé amnésique à quelques pas de la scène de crime.
    Mathias prend conscience de sa pathologie au moment même où les soupçons de meurtre le pointent du doigt. Il découvre que son identité ne repose que sur des mensonges et de faux document. Il décide alors de remonter ses identités successives, imbriquées comme des poupées russes, pour remonter à la source et prouver son innocence.
    Sur le chemin de sa quête d’identité le héros se rend compte que des crimes mythologiques ont jalonnés son parcours à rebours jusque son moi originel. Poursuivi par la police, puis par des tueurs professionnels au service d’un conglomérat militaro-médical, Mathias ne pourra compter que sur lui-même (suivi de près par Anaïs qui reste persuadée de son innocence et enquête en parallèle) pour démêler toute cette affaire et faire la lumière sur son passé pour comprendre comment quel a été son rôle dans cette série de meurtres.
    Même si Le Passager n’est peut-être pas le meilleur ouvrage de Grangé, sa lecture est assez fluide et agréable. On ne s’attache malheureusement pas beaucoup aux personnages et l’histoire est parfois vraiment rocambolesque. La révélation finale et la scène de clôture sont assez décevantes et on sens que l’auteur a ramé pour trouver comment terminer habillement son récit.
    Au final, Le Passager nous laisse une impression assez mitigée même si sa lecture n’est pas désagréable et nous fait parfois passer de bons moments.

    11/01/2016 à 12:21 galeelox (29 votes, 6.6/10 de moyenne) 2

  • 6/10 Grangé est un auteur que j'aime lire, mais là, je n'ai pas été séduite plus que ça.
    L'histoire traîne un peu en longueur. Quant à la fin, c'était un peu prévisible.

    18/10/2013 à 19:07 Aude (27 votes, 7.7/10 de moyenne)

  • 6/10 Il est sur mon blog mais je place mon avis ici.
    Le psychiatre Freire à Bordeaux, reçoit aux urgences un molosse qui a été retrouvé à la gare St Jean, les vêtements ensanglantés, proche du lieu d’un crime qui semble être le début d'une série. Mischell dit le cow boy, suspect number one, est amnésique. Freire tente de l’aider à se rappeler. Il lui décèle les symptômes d’une fugue psychique. Ce qui veut dire que l’homme au Stetson s’invente une autre vie sans le savoir au moment où il recouvre la mémoire.
    Anaïs Chatelet, capitaine de police à Bordeaux, névrosée qui carbure aux médocs, est la seule à nager à contre courant. Elle tente de démêler une enquête pour le moins complexe aux allures de mythologie. Les implications sont bien plus surprenantes qu’elles ne le laissent entrevoir.

    Pourquoi binaire ?

    Tout est là pour la constitution d’un bon thriller psychologique. Deux personnages antihéros, deux individus bien secoués par les réminiscences du passé comme tout le monde. Deux éléments qui les animent : la crise identitaire et de manière plus général, la recherche de la vérité. Ils sont complets, géniaux de par leur persistance malgré le sort qui s’acharne contre eux. Le rythme intensifiée par la proposition de nombreux chapitres courts, par les rebondissements réguliers et beaucoup d’actions. Une tendance page turner habite l’ouvrage. Le quatrième de couverture en image, à lui seul, donnerait un excellent teaser. L’idée majeure de la fugue psychique est une trouvaille intelligente et trouble le lecteur.

    Pourtant, je n’ai pas « thriller ». Frémi.
    Des coups de dé un peu gros par moment donne la sensation de précipitation pour le démêlage de situations difficiles. La mention du point de vue des « assaillants » est inexistante et aurait pu provoquer une tension supplémentaire.
    Deux autres éléments qui les effacent presque par leur légèreté : Le côté « big brother » des méchants sans explications plus complètes sur leur agissements les rendent moins impressionnants, moins présents. L’explication scientifique donnée et la manière dont Freire réagit et se débarasse d’un élément (scène du lavabo) est un coup dans l’eau auquel je n’ai pas accroché. Le côté « Bruce Willis, l’incassable » ou « Rambo » sonnait faux pour moi.
    Binaire car j’ai trouvé l’ensemble ambigu. Pris entre deux feux. L’extase pour l’idée, la plume talentueuse de l’auteur et la déception pour les éléments perturbateurs.
    JC Grangé comme beaucoup d’auteurs ne peut réussir l’exceptionnel à chaque fois. Il est et reste un incontournable dans le monde du thriller. Je suis convaincu qu’on doit encore s’attendre à de belles surprises. Je dirais que c’est un livre à lire mais sans grandes surprises.

    18/11/2012 à 20:59 ChrisMo (8 votes, 7.1/10 de moyenne)

  • 6/10 Arfff... ! Suis-je passé à côté ? J'adore Grangé mais.... c'est la première fois que je m'ennuie en le lisant... Des longueurs (je trouve que les changements d'identité et que le jeu du "chat et de la souris" n'en finissent pas)... un héros immortel à tel point que cela n'est plus crédible... des passages presque grand-guignolesques... Par contre bizarrement, dans la scène d'affrontement final, j'ai retrouvé l'intensité que sait suggérer Grangé. Je vois que le sens des commentaires est hétérogène, c'est bon signe : le bouquin ne laisse pas indifférent et trouve son public, c'est bien l'essentiel ! Et tout cela ne m'empêchera pas d'attendre le prochain avec impatience !!

    07/02/2012 à 10:29 tfab (37 votes, 8.1/10 de moyenne)

  • 6/10 intéressant cette remontée dans la=e passé et ce changement d'univers au fil des chapitres. par contre e n'ai rien retrouvé du Grange que j'aime lire. ce livre pourrait être écrit par n'importe qui

    01/11/2011 à 17:53 ba79 (21 votes, 7.3/10 de moyenne)

  • 5/10 Déçue! Au fur et à mesure de la lecture je construisais la suite...aucune surprise, aucun rebondissement digne de Grangé!

    16/11/2013 à 20:17 Lamu (5 votes, 6.8/10 de moyenne)

  • 5/10 Difficile d'accrocher cette fois malgré un bon démarrage. Des scènes un peu trop tirées par les cheveux, une chute assez vertigineuse avec des airs de déjà vu.

    03/10/2011 à 11:33 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne)

  • 4/10 Déçu par ce nouveau roman de Jean-Christophe Grangé. Je me suis ennuyé durant pratiquement la totalité du livre. De plus, je ne suis pas psy mais j'ai trouvé le sujet du voyageur sans bagage assez irréaliste. La fin confirme encore mon sentiment de frustration. Au final, malgré quelques passages à suspens, j'ai trouvé les longueurs omniprésentes. J'avais même envie de le terminer pour passer à autre chose, ce qui n'est jamais très bon. Espérons que Kaïken rattrapera le niveau.

    27/12/2012 à 11:02 mamboo (441 votes, 6.8/10 de moyenne)