Il pleut des coups durs

(The Real cool killers)

Les «Musulmans Fumants» ne vénèrent pas La Mecque, mais la marijuana. Sonny, qui tirait à bout portant sur le consommateur blanc, n'était pas un assassin et le vitrioleur avait lancé à la figure de sa victime non pas de l'acide sulfurique mais du parfum d'œillet. Va donc y comprendre quelque chose ! Pourtant ils avaient tous du souci - les coupables, les suspects, les innocents et les flics - et chacun pouvait prendre à son compte les paroles de la chanson : «Si les coups durs, c'était du fric, il y a longtemps que je s'rais millionnaire.»

Roman noir

2e livre de la série Le Cycle de Harlem

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Soumis le 26/05/2010 par JEDIVE

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