Chronique noire d’une bande de gopniks dans une cité crasseuse de l’Union soviétique au temps de la Perestroïka. École, castagne, baise et alcool font le quotidien de ces adolescents bas du front, sans éducation ni avenir, pour qui seule compte la loi du plus fort.
Un récit sans lumière et sans rêve, sans jugement ni compassion, rapporté dans un langage minimaliste, cru et argotique ; une histoire de brutes racontée dans une langue de brute. « Une littérature autochtone ».
On en parle sur le forum : Racailles de Vladimir Kozlov
Soumis le 30/01/2010 par Hoel