Tu ne perds rien pour attendre

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  • 6/10 J’ai passé un bon moment de lecture sans plus. L’auteur, pourtant, plante bien le décor et l’ambiance de la métropole africaine. Le style, l’emploie des expressions gabonaises contribuent à l’atmosphère. Mais que c’est long pour arriver enfin à un début d’enquête et qu’on arrive vite, trop vite à la fin cousue de fil blanc. C’est décevant quand on pense qu’Otsiémi a été qualifié de «James Elleroy africain». Il y a encore de la marge.

    01/09/2020 à 22:30 Coco Lamartre (139 votes, 7.9/10 de moyenne) 2