700 votes
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Les Soldats de papier
7/10 Meilleur que " Le jour où tu dois mourir ", ce polar plante son décor au sein de la Grande Muette et et réussit à nous emporter dans le sillage de son personnage principal jusqu'au coeur des Balkans... L'intrigue tient la route et le suspense est au rendez-vous...
24/07/2013 à 21:22
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Miséricorde
5/10 si l'on se réfère simplement à l'histoire, au style, à l'intrigue assez conventionnelle du roman, sans oublier la traduction qui n'est pas bonne, je lui mets un 4 mais c'est dans l'évolution des 2 personnages principaux au fil des romans à venir, les zones d'ombre à éclairer, le trauma à résoudre, et une complexité peut être plus grande qu'il n'y paraît dans les rapports que vont être amenés à nouer Mörck et Assad, que réside l'intérêt de cette première enquête du département V.
31/12/2012 à 14:58
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Ne t'éloigne pas
5/10 Juste la moyenne pour cet Harlan Coben un brin poussif et qui ne décolle jamais vraiment... La présence de "Ken et Barbie" vient ajouter à l'aspect foutraque de l'histoire et une fois n'est pas coutume, les invraisemblances s'accumulent et plombent le récit. En attendant la suite...
03/10/2012 à 22:46
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Non stop
7/10 Sur une très bonne idée de départ, un thriller rythmé et bien calibré qui sait jouer avec les codes du genre pour nous tenir en haleine du début à la fin. Très efficace...
18/11/2013 à 21:26
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Pour le bien des enfants
4/10 Rien de nouveau sous le soleil d'Aubenque : le plaisir de retrouver ses personnages fétiches Logan and co se dissipe très vite devant le style toujours aussi laborieux de l'auteur et une histoire bourrée de clichés et de lieux communs...
14/03/2013 à 22:48
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Psycho
6/10 Nouvelle plongée dans les bas-fonds urbains de Philadelphie avec les inspecteurs Byrne et Balzano; un thriller de facture classique, qui nous tient en haleine, malgré un rythme un peu trop lent parfois...
08/03/2014 à 14:19
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Purgatoire des innocents
6/10 Un roman qui ne peut laisser indifférent; Giebel, avec ce huis clos pervers, confronte l'homme avec ses pulsions les plus viles. Une histoire d'amour et de mort, d'une grande noirceur, qui pâtit néanmoins de la propension de l'auteur à "étirer" ses phrases, à appuyer ses effets, qui suscite de nombreuses longueurs, et casse le rythme du roman.
09/06/2013 à 14:04
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Réminiscence
5/10 Gilles Caillot a du mal à changer de braquet avec ce second opus des aventures du commissaire Zanetti : un démarrage plus que poussif et trop de longueurs avant d'entrer dans le vif du sujet. Un sujet, la jeunessse de Zanetti, qui, pourtant, aurait mérité que l'auteur s'y attache davantage, plutôt que de recycler toute ou partie de l'intrigue du premier opus... J'aurais aimé qu'il transforme l'essai de l'"Ange du mal"; malheureusement, je reste sur ma faim...
05/12/2014 à 15:40
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Sérum : saison 1, épisode 1
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
6/10 Un démarrage piano piano qui permet de poser les jalons pour la suite: une espèce de " 24 hrs Chrono" littéraire, avec sa cohorte de clichés, mais aussi un certain sens pour ménager ses effets et brouiller les pistes... To be continued....
21/03/2014 à 17:13
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Sérum : saison 1, épisode 2
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
5/10 Rompus aux codes du genre, les auteurs reussissent a maintenir le suspense en livrant un minimum d'informations et en gardant le lecteur sous tension, jusqu'au final, habilement amené... To be continued...
22/03/2014 à 15:38
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Sérum : saison 1, épisode 3
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
6/10 Un épisode riche en révélations et coups de théâtre qui donne un coup de booster à l'intrigue et aiguise notre intérêt... To be continued...
25/03/2014 à 16:27
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Sérum : saison 1, épisode 4
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
4/10 Un gros coup de mou... L'histoire tourne en rond et nous perd en chemin, l'intrigue principale parasitée par d'autres ( trop ?? ) intrigues secondaires, et l'histoire d'Emily qui, au final, ne nous apprend rien... To be continued...
25/03/2014 à 16:29
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Sérum : saison 1, épisode 5
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
5/10 Malgré des intentions louables et leur volonté de ménager le suspense jusqu'au bout, les auteurs s'éparpillent et perdent le fil de leur intrigue...
27/03/2014 à 14:33
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Sérum : saison 1, épisode 6
Henri Loevenbruck, Fabrice Mazza
5/10 Dernier épisode de la série, et comme tout bon final season qui se respecte, il pose beaucoup plus de nouvelles questions qu'il ne livre de ( maigres ) réponses... Néanmoins, et malgré quelques fulgurances, Loevenbruck et Mazza n'ont pas su éviter le principal écueil inhérent au genre, à savoir étirer un suspense sur la durée, et tenir ses lecteurs en haleine, tout en ne livrant que parcimonieusement les clés de l'intrigue...
Trop d'intrigues parasites, quelques longueurs, et des situations pas toujours crédibles, malgré un certain savoir-faire; un bilan assez mitigé pour cette première saison de " Sérum ", mais qui ne m'empêchera pas d'être au rendez-vous de la seconde...27/03/2014 à 14:42
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Sofiane
Yomgui Dumont, Franck Thilliez
5/10 Petite déception que cette nouvelle plongée sensorielle...
Le fil rouge de ce nouveau cycle est haletant, néanmoins, l'histoire qui lui sert de béquille n'a pas un grand intérêt, et le souvenir exploré bien artificiel, son but principal étant de réintroduire un personnage marquant de la saga...
hier à 18:00
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Sorry
8/10 Une claque ! De par son style Sorry s'apparente à cette attraction foraine la galerie des glaces , car la construction polyphonique du roman nous perd et nous oblige à aiguiser notre attention, voire à revenir aux chapitres précédents pour tenter de percer l'identité du ( des ) coupables. Car au fond, tous les personnages du roman ne sont-ils pas tous coupables ? Une belle réussite....
09/12/2012 à 14:10
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Stone Island
2/10 69ème vote sur PP. 69, un nombre qui sied à merveille au nouvel opus d'Alexis Aubenque, le plaisir en moins: sans queue, ni tête...
03/09/2013 à 21:11
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Ta mort sera la mienne
5/10 Un thriller déroutant et hypnotique, qu'il m'est impossible de noter; sous ses dehors d'odyssée meurtrière, Fabrice Colin brosse le portrait en creux d'une famille recomposée, aux accents désespérés. Sur la forme, entre Chuck Palahniuk et Zoran Drvenkar, après une entame prometteuse, la construction polyphonique du roman est à la fois le point fort et le talon d'achille du roman: le point fort, car l'intrigue, éclatée, n'a de cesse de nous perdre pour mieux nous accrocher. Mais cela dessert aussi le livre, du fait que les trois histoires n'arrivent pas à capter l'attention de la même manière, et plombe un peu le rythme...
03/08/2013 à 13:46
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Toyer
3/10 Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas forcé à terminer un livre; la dernière fois, c'était au collège, pour "Madame Bovary"... Vingt ans plus tard, et avec le recul, je remercie mon prof de français de m'avoir incité à persévérer concernant le roman de Flaubert et sa lecture m'a servie... Je souhaite pouvoir en dire autant de Gardner Mc Kay... mais j'en doute... Quel ennui !!!
03/08/2013 à 22:16
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Vertige
6/10 Un huis clos prenant et presque réussi, ne seraient ses références trop marquées et son final fortement capillotracté...
26/11/2013 à 23:59