Bernard Thilie

26/03/1943

Né le 26 mars 1943 rue du vieil abreuvoir à Roubaix dans un débit de tabac appelé le Havane.
Une scolarité chaotique et riche en anecdotes lui permet de fréquenter épisodiquement la quasi-totalité des écoles de la ville assorties d’incursion sur Lille et Tourcoing. Il y laissa un souvenir impérissable tout en lassant la patience des enseignants de 5 établissements sur les 13 fréquentés. Un score qui aurait être amélioré sans l’acharnement de certains d’entre eux.

Après un service militaire houleux dans l’artillerie dont témoigne encore l’absence de clochers dans quelques villages du Poitou, échappant d’un doigt à la guerre d’Algérie, il sévit 40 ans durant dans le monde des engrais.

Il découvre la littérature à l’âge de dix grâce à la comtesse de Ségur (nobody is perfect) au travers des mémoires d’âne, le titre n’étant pas anodin aux dires de ses parents. Et depuis il lit en moyenne deux à trois livres par semaine. Cette passion englobe tous les styles, Ernest Hemingway, Maupassant dominent, mais également les policiers, Ed Mac Bain, Charles Williams, Denis Lehanne, Michael Connely, Stanley Garner pour les anciens.

A cela s’ajoute la science fiction, la bonne : (Simak, Silverberg), le fantastique avec Jean Ray le plus fabuleux parmi les belges.

En 2003, enfin officiellement à la retraite il réalise son rêve et se met à l’écriture. 9 romans à ce jour, un 10ème en cours. A ce jour sont publié "Nuit de chine", et en juin "l’attaque du casino de Malo les bains". Suivront "Bonne à tuer" et "l’incroyable secret du fort de Bondues", courant 2012 si tout va bien.

Deux romans, un sur la musique classique, et une vision romanesque de mai 68 cherchent un éditeur.

A sa passion des livres il faut ajouter celle des voitures anciennes, de l’aviation, du cinéma de la peinture, de la bande dessinée période Franquin et Bilal. Et puis surtout de la musique classique ainsi que les grands poètes Léo Ferré, Jean Ferrat, Serge Reggiani. Je suis obligé d’arrêter ici la liste car elle est encore longue. Ceci pour préciser que le mot ennui n’a pas de sens.

Ses modèles en humour : Jean Yanne, Pierre Desproges, Laurel et Hardy, Jerry Lewis. Pas beaucoup de vivants là-dedans malheureusement.
L’auteur vi des jours paisibles en Normandie sur les plages du débarquement, anciennement côté allemand, l’autre étant la mer qu’il scrute avec inquiétude chaque matin pace qu’on ne sait jamais.

Sa philosophie de la vie : une seule chose est certaine c’est que rien n’est sûr.

http://www.ravet-anceau.fr/auteur.asp?auteur_id=242

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