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Hitomoji tome 2
7/10 On continue d'accompagner Misaki Tamaru et son équipe, qui tentent de sauver des Hitomoji, des humains en pleine mutation (potentiellement mortelle) à cause d'une épidémie d'ampleur due à un amibe particulièrement retors. Dans ce 2e opus, on suit particulièrement deux cas : celui d'un jeune lycéen ayant toujours vécu dans une secte et qui souhaite s'en émanciper ; celui d'une scénariste écrivant une série sur une victime de harcèlement scolaire. Un 2e tome dans la continuité du premier, intéressant sans être véritablement emballant. La série étant finie en 4 tomes, j'irai au bout par curiosité.
26/10/2023 à 14:31 1
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La Fille du canal
9/10 Un petit livre de par sa taille (89 pages) mais un grand livre de par son contenu. Avec une économie de mots et une absence totale de pathos, Thierry Lenain parvient à mettre les bons mots sur les maux. Écrit en 1993 ce roman est malheureusement encore nécessaire 30 ans plus tard. Une histoire touchante que ce portrait croisé de deux femmes blessées par la folie des hommes.
26/10/2023 à 09:52 2
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Un bébé en cavale
8/10 Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un Jérôme K. Jérôme Bloche et quel plaisir que de retrouver notre détective empoté préféré ! Dans cet opus, Alain Dodier a mis le paquet : les situations rocambolesques et hilarantes ne manquent pas. Pour autant, le scénario tient la route et les surprises sont au rendez-vous. Jérôme se retrouve avec le bébé d'un ami sur les bras. Lequel ami a des ennuis. Des ennuis du genre mortels.
25/10/2023 à 18:05 3
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Nettoyage à sec
8/10 Les planches sont superbes, comme dans Béatrice, la précédente BD de l'auteur, mais le scénario n'est pas à la hauteur du dessin. Attention, l'intrigue tient la route et elle est loin d'être mauvaise mais disons que c'est du classique, même si les dernières pages nous laisse avec un ultime rebondissement bien senti.
Une très belle bande dessinée, s'attachant plus à retranscrire une ambiance (façon films noirs) qu'à enchaîner les péripéties. Un auteur au coup de crayon/pinceau délectable qu'on suivra de près.20/10/2023 à 16:36 3
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Hitomoji tome 1
7/10 Une épidémie d'un style très particulier s'est répandue au Japon. Un puissant amibe, proche du blob, transforme les humains en situation de stress intense en "Hitomoji", une espèce d'organisme mi visqueux mi humain. Une brigade médicale est mise sur pied, menée par la jeune Misaki Tamaru pour essayer de les sauver. Si l'angoisse du patient est jugulée, il peut espérer retrouver sa forme initiale. Si au contraire le stress augmente, le malade peut exploser.
Un point de départ pour le moins original pour une série courte (4 volumes) dont le premier opus ne m'a pas tout à fait convaincu. Rien à redire sur le dessin, classique mais efficace. Le scénario, ténu, constitue en une suite d'étude de différents cas d'Hitomoji. A voir comment tout cela va évoluer.20/10/2023 à 15:32 1
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L'enfant rivière
8/10 Une dizaine d’années après ses précédents opus, Morts fines à Morlaix et Val sans retour, Isabelle Amonou signe son come-back avec ce beau roman, qui n'aurait pas fait tache chez Gallmeister. Mais c’est chez Dalva qu’il est paru, une nouvelle maison prometteuse ne publiant que des autrices contemporaines, françaises comme étrangères.
Mêlant noirceur, nature et (légère) anticipation, L’enfant rivière prend son lecteur aux tripes dès le départ. Comme Zoé, on se refuse à croire que Nathan soit mort, bien qu’il semble assez absurde de retrouver le garçonnet par miracle, six ans après le drame.
Le roman a été écrit sur place, en Outaouais, dans le cadre d’une résidence d’écriture. On sent bien à travers les trois-cent-quatre pages que l’autrice bretonne s’est imprégnée de ces paysages majestueux et sauvages.
Gageons que de nombreux lecteurs prendrons plaisir à découvrir le catalogue de cette jeune maison d’édition et à (re)trouver Isabelle Amonou avec un roman de cette qualité. Espérons qu’il ne faille pas attendre une dizaine d’années supplémentaire pour en lire un autre.17/10/2023 à 08:41 3
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Enclave
8/10 J'avais repéré ce roman de 2009 il y a quelques années. Ayant enfin pu mettre la main dessus (on ne dira jamais assez merci à l'inventeur des Bibliothèques Départementales de Prêt), je n'en ai fait qu'une bouchée. De par l'époque et le sujet traités, il m'a évoqué Le rapport de Brodeck et La vie est belle, entre autres.
Hommes, femmes et enfants ayant survécu à l'horreur d'un camp de travail nazi en Slovaquie font face à un autre problème. Les Allemands ont fui du jour au lendemain, sabotant l'unique pont permettant de rejoindre la vallée. La communauté de l'enclave est donc coincée là, espérant la fin de la guerre et un éventuel miracle. En attendant, il faut s'organiser. Et lorsque l'ennemi est parti, d'autres peuvent prendre sa place.
Un très beau roman, véritablement marquant, aux personnages charismatiques, pas avare en scène et décors mémorables. Dommage qu'aucun réalisateur ne se soit penché sur la question, je suis sûr qu'il y a là matière à faire un excellent film.14/10/2023 à 15:45 3
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Frères de sang
8/10 Les Lemeunier, petite famille sans histoire, sont tranquillement en train de dîner lorsqu'on sonne à la porte. C'est la police, et ils viennent arrêter Brice, l'aîné, soupçonné d'avoir commis pas moins de cinq meurtres. La famille tombe des nues mais les faits accablent le jeune homme. Seul Martin reste intimement convaincu de l'innocence de son grand frère. Il va tout faire, envers et contre tous, pour comprendre ce qui s'est passé et innocenter Brice.
Un thriller concis – 140 pages – mais diablement efficace, que les jeunes et moins jeunes engloutiront en une paire d'heures. Largement primé à l'époque – le roman est paru en 2003 – Frères de sang a aussi été adapté pour la télévision.14/10/2023 à 15:33 3
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Le Soleil des rebelles
8/10 J'ai adoré Le gang des rêves et je m'étais promis de relire Luca Di Fulvio, disparu prématurément il y a quelques mois. Voilà chose faite et le moins qu'on puisse dire c'est que je n'ai pas été déçu. Quel conteur que cet auteur italien, et quel plaisir que de se faire raconter cette histoire dans la version audio, lue avec talent par Isabelle Miller. Le jeune prince Marcus assiste au massacre de sa famille. L'enfant parvient à s'enfuir et est recueilli par Agnete et sa fille Eloisa. Il va peu à peu se remettre de la mort de ses proches, sous le nom de Mikael, grâce à l'aide des deux femmes, devenues en quelques mois sa véritable famille, et grâce aux enseignements du « vieux Raphaël » un vieil homme aussi sage que mystérieux.
La plupart des personnages sont très attachants et malgré les horreurs qu'ils traversent – Luca Di Fulvio n'est pas tendre avec eux – il reste toujours de l'espoir. Un vrai plaisir de lecture que ce roman initiatique, pour ceux qui ont aimé Le Gang des rêves... et les autres.14/10/2023 à 15:17 2
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Sous les feux d'artifice
6/10 Après un polar sympathique – Le dernier des écrivains – Gwenaële Robert arrive au Cherche-Midi avec un roman historique assez ambitieux. Se déroulant sur quelques jours de juin 1864, en pleine guerre de Sécession, le récit est double. Il suit en parallèle une possible bataille navale entre un navire confédéré et un navire de l'union en pleine rade de Cherbourg, à quelques miles des côtes françaises, et l'arrivée de la jeune impératrice Charlotte de Habsbourg au Mexique. Seulement, le roman peine à trouver son équilibre entre les deux parties. Celle se déroulant en France, très richement restituée, est intéressante, y compris au niveau de ses protagonistes (le journaliste parisien notamment) tandis que la partie mexicaine, presque survolée, finit par comparaison par devenir secondaire. S'il manque quelque chose à ce roman pour marquer les esprits, la prose de l'auteure malouine reste très agréable à lire et on la retrouvera avec plaisir.
13/10/2023 à 18:12 3
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L'Or vert du Sangha
6/10 Au Sangha, pays d'Afrique imaginaire, une jeune journaliste française (Claire Dorval) est envoyée par son patron pour suivre la campagne d'un "jeune" candidat aux élections présidentielles (Luc Otsiemi). Cet ancien footballeur pro, noceur notoire, monte dans les sondages. Mais parviendra-t-il à sérieusement concurrencer l'éternel président au pouvoir ? En commençant à mener ses investigations sur place, la journaliste découvre de plus en plus de zones d'ombres, notamment l'assassinat d'un confrère dont l'enquête sur sa mort semble avoir été bâclée.
Pierre Pouchairet, ancien policier ayant pas mal bourlingué, a une bonne connaissance des trafics divers et variés et de l'Afrique. Les faits évoqués, notamment concernant le trafic de drogue et de bois précieux, sont très vraisemblables. Et pour cause, certains sont inspirés de faits réels. Malgré tout, il manque un peu de liant pour que tous ces éléments prennent la forme d'un roman passionnant. Les personnages ne sont pas spécialement attachants et on reste un peu à la surface malgré les péripéties nombreuses.13/10/2023 à 17:51 3
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Le Rasoir d'Ockham
6/10 Sans révolutionner le genre ni rester dans les annales, Le Rasoir d'Ockham est un honnête thriller ésotérique à la Dan Brown, aussi "hollywoodien" qu'efficace. Le suspense est très présent mais les ficelles sont parfois un peu grosses. Le personnage d'Ari McKenzie est sympathique mais, à l'instar du Nathan Love de Philip Le Roy, parfois horripilant par sa propension à se sortir, quasi sans égratignures, de situations on ne peut plus périlleuses. Agréable à lire (à écouter dans mon cas) mais bien moins intéressant que les meilleurs romans de l'auteur (J'irai tuer pour vous ou L'Apothicaire notamment).
13/10/2023 à 17:07 3
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Une singulière trinité
6/10 J'ai dû lire ce roman pour des raisons professionnelles. Clairement, je ne l'aurai jamais lu sans ça tant l'aspect suranné du livre ne me donnait absolument pas envie, pas plus que le titre fleurant par trop la religion. Pour autant, je l'ai lu rapidement, sans déplaisir. Bien qu'il ne soit pas vendu comme un polar par son éditeur, plutôt spécialisé en poésie, il s'agit d'un roman noir tirant par moments sur le thriller. Certaines ficelles sont un peu grosses mais le personnage de Thomas est aussi sympathique que le « méchant » est tordu et les rebondissements tiennent le lecteur en haleine.
12/10/2023 à 15:19 1
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L'Ouvrier de la Mort
7/10 Faire du célèbre Anatole Le Braz un personnage de fiction, c'était osé. Faire de lui l'assistant d'un commissaire enquêtant sur une série d'assassinats aux frontières du surnaturel, c'était même casse-gueule. Gérard Lefondeur a été bien inspiré d'avoir cette brillante idée car l'ensemble tient bien la route. Malgré quelques longueurs (certaines pages sont un peu trop didactiques, au moins pour les personnes déjà versées dans la mythologie bretonne), ce petit policier (paru immédiatement en poche chez Palémon) est une belle surprise. Espérons que ce livre trouve son public. On retrouvera Anatole et le commissaire Dantec dans une 2e enquête en début d'année 2024.
12/10/2023 à 11:11 2
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Ice Cream
6/10 Un style particulier à la lisière entre album et BD. Deux illustrations au format paysage par page, avec du texte (ou pas) en dessous mais pas de phylactères. Pourtant le récit est un dialogue, parfois un peu lunaire, entre deux personnes : une tenancière de bar et un client anonyme témoin d'un meurtre, dont il est question tout au long de ce court ouvrage un peu déroutant. Le dessin d'Anthony Pastor, en noir et blanc et sans doute réalisé au stylo à bille est d'une maîtrise à couper le souffle. Si j'ai pris plaisir à m'attarder sur les cases, j'ai trouvé le scénario assez pauvre et la fin décevante. L'ambiance noire et les personnages curieux donnent un petit côté David Lynch période Twin Peaks.
12/10/2023 à 10:44 2
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Collapsus
8/10 Dystopie ? Anticipation ? Politique-fiction ? Un peu tout cela à la fois en vérité.
L'auteur situe son action dans un futur très proche où un président de la République Française, peu démocratique dans ses méthodes, utilise le 49.3 et d'autres subtilités constitutionnelles à tire-larigot pour faire passer ses idées en force (toute ressemblance avec des personnages existants est purement fortuite). Sauf qu'au lieu de favoriser actionnaires et autres milliardaires, son programme est écologiste et radical. Ainsi, il est bientôt interdit de prendre sa voiture seul (covoiturage obligatoire), de manger trop de viande ou de prendre l'avion sans avoir à en assumer les conséquences. Pour les réfractaires, stages obligatoires dans des camps dont le fonctionnement et le quotidien des "stagiaires" est tu aux citoyens lambda. Jusqu'où peut-on aller pour la bonne cause (sauver la planète) ?
A travers sa galerie de personnages gravitant dans un monde de la politique plus vrai et plus terrible que nature (Thomas Bronnec est journaliste, spécialiste du Ministère de l'économie) cet ouvrage, dense mais passionnant, pose plus de questions qu'il n'apporte de réponse, ce que je trouve appréciable.
On regrettera tout au plus une (sur ?)abondance de scènes de sexe très crues et pas forcément indispensables.11/10/2023 à 18:27 6
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Mon territoire
8/10 Ce roman, que j'ai lu un peu par hasard dans sa version audio (lu par Juliette Croizat), ne brille pas par l'originalité de son intrigue, c'est sûr. Mais je n'en attendais pas grand chose et j'ai été agréablement surpris. Les personnages sont travaillés, particulièrement Harley et son entourage immédiat. L'action est très présente, du début à la fin, ce qui permet au lecteur d'aller sans mal jusqu'au final, au moins aussi bon que le reste du récit. Comme Gamille, je pense qu'il y a là sujet à faire un bon film d'action/noir.
11/10/2023 à 18:02 4
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Étranges rivages
9/10 Quel plaisir de retrouver Erlendur dans ce qui est sans doute à ce jour le roman le plus mélancolique de cette série ! Même en vacances dans les fjords de l'est, sur les lieux de son enfance, l'inspecteur ne peut s'empêcher d'être attiré par les histoires de disparition. Il va rapidement s'intéresser à celle de Matthildur, une jeune femme n'ayant jamais été retrouvée après une tempête de neige survenue en 1942. Bien qu'il assure ne pas « enquêter » aux différentes personnes à qui il pose des questions, Erlendur ne trompe personne, pas même lui-même, en essayant de résoudre ce cold case. Sa curiosité et sa pugnacité légendaires vont l'amener bon an mal à comprendre ce qui s'est passé et il va, au passage, en apprendre davantage sur son histoire personnelle.
Un des meilleurs romans d'Indridason mais peut-être pas celui à mettre dans les mains d'un lecteur de polar désireux de découvrir cette série. En effet, l'aspect purement policier est assez ténu, la priorité étant faite aux relations humaines et aux sentiments qui habitent le placide inspecteur.05/10/2023 à 10:01 7
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Shit !
9/10 Globalement, je me méfie des bandeaux et autres blurbs.
A propos de ce livre, l'humoriste Thomas VDB (dont j'apprécie le style assez absurde soit dit en passant) a écrit : « Un Breaking Bad hilarant à Besançon »
Je trouve que c'était dur d'aussi bien résumer le livre en aussi peu de mots. Il y a évidemment le côté Breaking Bad, avec ce CPE très Monsieur Tout-le-monde qui se retrouve, plutôt malgré lui et à cause d'un concours de circonstances, à brasser du shit et beaucoup d'argent. Il y a, comme dans tous les romans de Jacky Shwartzmann, un côté humoristique assumé. Dans celui-ci, les situations désopilantes ne manquent pas. Ce qui n'empêche pas l'auteur de glisser des critiques à peines voilées sur certains aspects de la société et même de s'autoriser quelques tacles glissés notamment sur l'éducation nationale. Enfin, Besançon, où a grandi l'auteur, est véritablement le personnage principal du bouquin, en particulier le quartier de Planoise.
En résumé, ce livre c'est des barres garanties : d'immeubles, de shit, de rire...04/10/2023 à 12:01 13
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Les Assiégés
Vincenzo Bizzarri, Stefano Nardella
9/10 Italie du Sud. Un immeuble, appelé l'OPNI par ses habitants, doit être rasé. Seulement, ses habitants ne sont pas du même avis. Une grande partie d'entre eux décide de refuser l'évacuation, coûte que coûte. Les policiers encerclent le bâtiment et s'apprêtent à le prendre d'assaut. Dans ce contexte, Cirù, un caïd en herbe, se sort d'un mauvais pas en trouvant refuge chez "le peintre fou", un artiste qui, comme son nom l'indique, n'a pas un comportement des plus rassurants. ll vit cloîtré dans son appartement depuis la perte de sa femme, et il est armé et prêt à en découdre.
Une BD noire d'excellente facture à la narration exemplaire et au dessin réussi, qui livre quelques rebondissements pas piqué des hannetons. Un duo d'auteurs à suivre.03/10/2023 à 17:52 4