Dany33

535 votes

  • Après la fin

    Barbara Abel

    9/10 Vive les e-books ... je n'ai attendu que 5 minutes (le temps de 3 clics) pour passer de "derrière la haine" à "après la fin" et je n'ai pas été déçue.
    Un thriller psychologique comme j'en ai rarement lu.
    Les maisons y sont de véritables personnages comme dans le film Psychose et l'ambiance très réaliste remarquablement rendue.
    A ne pas rater et surtout enchaînez les deux à la suite me semble indispensable.
    Bonne lecture avec ce que je note à 5 étoiles !

    01/07/2015 à 16:58 3

  • Derrière la haine

    Barbara Abel

    10/10 J'ai lu ce livre de Barbara Abel après "bonheur sur ordonnance" pour "vérifier" qu'elle écrivait bien des thrillers, comme suggéré par son appartenance à "la ligue de l'imaginaire". Alors, là pas de déception !
    L'analyse d'un crime parfait, fruit d'un délire de souffrance rarement atteint.
    Vous ne regarderez plus vos voisins de la même façon !
    Le style est agréable, les personnages très attachants et leurs réactions très proches de celles que nous pourrions avoir dans les mêmes circonstances.
    Nous le savons, nous sommes tous des paranos en puissance

    01/07/2015 à 16:58 1

  • Duelle

    Barbara Abel

    9/10 Première publication en 2006, réédité en 2017 … une pépite !
    Un bonheur de retrouver un thriller noir, très noir, bâti sur le même principe que « l’innocence des bourreaux » car oui, même les gens ordinaires ont leurs secrets … Une famille gangrenée comme le dit l’auteure : « une histoire de mensonges, de jalousie, de rivalité, de non-dits, d’hypocrisies et d’apparences trompeuses ». C’est aussi une histoire sur la gémellité et comme souvent chez Barbara Abel, sur fond d’instinct maternel. 413 pages à Bruxelles qui démarrent comme une téléréalité, menées tambour battant, pour terminer comme une saga familiale !

    26/07/2017 à 17:49 6

  • Et les vivants autour

    Barbara Abel

    9/10 Deux générations, trois couples …
    Dans la famille Mercier, je demande les parents, catholiques convaincus : un mâle dominant chef d’entreprise irrespectueux et une épouse soumise, véritable réserve de vengeance en devenir.
    Je demande maintenant l’aînée, Charlotte tente avec son mari de maintenir une petite entreprise en perdition, à la recherche d’une solution financière. Elle a quelques frustrations à gérer.
    Enfin, dans le couple de la benjamine nous avons le malheur, la souffrance à laquelle il est proposé de mettre fin en abrégeant un coma … c’était sans compter sur l’ultime alternative à gérer, qui déchirera les restes d’une complicité familiale bien légère en fait !
    Nous avons toutes et tous des choix à faire tout au long de la vie … des petits choix sans trop de conséquences et d’autres beaucoup plus définitifs …

    Au fil de ce roman à très haut potentiel de suspense, si certains sont ignobles sans excuses possible, d’autres personnages méritent que l’on tienne compte de leurs circonstances atténuantes, car ils en ont. L’empathie du lecteur sera d’autant plus sollicitée que, comme dans tous ses romans, Barbara Abel met en scène des personnes « ordinaires », un peu moins ordinaires cette fois que dans ses précédents romans, avec cette question récurrente sous sa plume : qu’aurais-je fait à sa place ?, et son lot de surprises jusqu’à la toute dernière page !
    J’ai beaucoup aimé endosser les émotions que nous procure l’auteure, intimes s’il en est, dérangeantes souvent, pudiques toujours. Du grand art pour un pur moment de bonheur pour le lecteur … et non pas pour les personnages élégamment malmenés.

    30/03/2020 à 09:54 6

  • Illustre inconnu

    Barbara Abel

    8/10 Ce roman de Barbara Abel est sorti en 2007 et on n’en parle pas assez, tout comme « le bel âge pour mourir ». Certes peu de morts et peu de sang mais une intrigue psychologique comme elle nous a depuis habitués à les attendre chaque année.
    Un milieu bourgeois et show-biz confronté à une jeune fille modeste qui recherche la famille de son père biologique, cet illustre inconnu. En découle la confrontation des milieux et les secrets qui éclaboussent pour aboutir à un final en feu d’artifice. Une réussite !

    14/01/2017 à 18:51 4

  • Je sais pas

    Barbara Abel

    9/10 Dans la veine de « Derrière la haine » et « Après la fin » l’auteure nous entraîne dans les méandres de cerveaux bien tordus … elle nous déroule une enquête sur deux disparitions et nous suggère une similitude d’événements troublante, à presque vingt années d’intervalles. Des retournements de situations inattendus mettent le lecteur à mal jusqu’à la toute fin. Que dire de plus sans spolier : des personnages attachants ou franchement antipathiques (même les enfants ont beaucoup à se reprocher), des crimes parfaits ou presque … quoique … Assez différent du huis-clos de son précédent roman « l’innocence des bourreaux », j’ai beaucoup aimé et je me dis que peut-être il y aura une suite … oui c’est possible !

    24/10/2016 à 16:24 4

  • Je t'aime

    Barbara Abel

    9/10 C’est l’histoire de quatre femmes et pas que.
    C’est l’histoire de trois familles « normales » même si l’une d’entre elles est « recomposée » … et pas que.
    C’est comme dans les autres romans de Barbara Abel, l’histoire de vos voisins, de vos amis, de votre famille, qui bascule à cause d’un événement certes imprévisible mais qui aurait pu être évité par tout un chacun, avec un peu plus d’attention portée à son entourage.
    Mais bien au-delà de ça, l’auteure nous questionne sur nos réactions potentielles face à des accidents de la vie … qu’auriez-vous fait à leur place ?
    A la place de ces mères meurtries par la disparition de leur raison d’exister ? De ses pères aveugles au désarroi de leurs ados ? De ces flics face aux évidences ? Ha la justice …
    « La justice est lente, complexe, elle manque de moyens. À quoi sert-elle, si ce n’est à sortir du cercle vicieux de la vengeance ? Protéger, décider, sanctionner » la devise de Nicole, sa raison de vivre.
    Ainsi, avec le brio qu’on lui connaît, Barbara Abel s’attache à manipuler les créatures qu’elle a fait naître, avec beaucoup de malveillance et de torture morale. Quand on connait un peu l’auteure, que l’on sait qu’elle avoue que « manipuler la violence est jouissif, en parlant avant tout de la violence psychologique » on se dit que l’écriture de ce thriller a dû la combler de bonheur ! Oui 2018 est un très bon cru Abel dans la veine de « l’innocence des bourreaux ».

    20/06/2018 à 14:05 5

  • L'Innocence des bourreaux

    Barbara Abel

    9/10 Quand on termine un bon bouquin on se dit que le bonheur aurait encore pu durer quelques pages … mais les héros dans tout ça ? Auraient-ils pu en supporter d'avantage ? Difficile à dire dans le cas du dernier roman de Barbara Abel, car outre la souffrance physique pour certains, la souffrance psychologique pour tous est poussée au maximum. A la fois huis clos et en partie road-movie, des personnages hauts en couleur se rencontrent par hasard et quelques duos improbables sont tout à fait succulents. Et les grandes questions sur le courage, le respect, l'amour maternel se posent à nous car que ferions-nous à leur place ? Une mention particulière pour Germaine, qu'on aurait pu appeler Tatie Danielle …
    Assez loin de l'univers de « derrière la haine » et sa suite « après la fin », un sujet grave qui nous rappelle aussi les événements de janvier 2015 à Paris, ce roman nous amène à aborder les drames cachés derrière les faits divers qui envahissent les colonnes des quotidiens. Et l'humain dans tout ça ? il est bien présent chez Barbara Abel et ses personnages sont peut-être nos voisins …

    01/07/2015 à 11:29 3

  • La Brûlure du chocolat

    Barbara Abel

    8/10 Un Barbara Abel bien loin de ses derniers romans ... Zoé amnésique doit se marier ans quatre jours et pour son entourage, pas question de remettre la cérémonie ... même si elle ne se souvient pas de son fiancé. Une reconstruction en quatre jours, où chacun(e) se donne le beau rôle.
    Une intrigue bien menée, sans hémoglobine. Un bon moment de lecture !

    01/07/2015 à 16:47

  • Le Bonheur sur ordonnance

    Barbara Abel

    7/10 J'ai commencé à lire Barbara Abel par ce livre et parce que c'est à ce jour la seule femme qui fasse partie de "la ligue de l'imaginaire" ... Je m'attendais à un thriller et c'est un roman psychologique que j'ai découvert.
    Méline est atteinte d'un mal incurable : son gène du bonheur est affecté et sans une cure adaptée, son corps la lâchera et la mènera à la mort.
    Les symptômes : pétages de plombs agrémentés de déversement d'insultes et de grossièretés avec pour conséquences de la couper encore plus de son environnement de façon comique et grotesque.
    Cette descente aux enfers m'a fait penser à l'écume des jours et son nénuphar de plus en plus encombrant.
    En fait, cette quête du bonheur est bien le sens que nous donnons à notre vie et tout comme pour Méline, le malheur fait que l'on s'étiole et que la dépression rôde.
    J'ai aimé cette écriture et je pressens que mise au service de thrillers, elle doit être efficace voire redoutable alors sus à la suite ...

    24/09/2015 à 14:34 1

  • Un bel âge pour mourir

    Barbara Abel

    8/10 Mais qui donc peut avoir le bel âge pour mourir … le mari de France, sa fille Marion ou encore son petit-fils ou sa nounou instit … et France victime ou diabolique meurtrière ? Une descente aux enfers pour Marion qui se trouve simultanément orpheline, au chômage et expulsée. Pour une fois Barbara Abel ne choisit pas des gens ordinaires tombant par hasard dans l’horreur mais des protagonistes issus d’un milieu bourgeois qui s’en veulent « à mort ». Avec brio elle nous fait souffrir en prenant de la vitesse tout au long de ce roman … encore une fois trop court. A moins que ça ne soit une façon à elle de préserver ses lecteurs à ne pas en douter, de plus en plus nombreux. La fin chez monsieur Mickey est époustouflante.
    En d’autres termes, j’ai beaucoup aimé.

    23/07/2015 à 22:02 1

  • Délivrance

    Jussi Adler-Olsen

    8/10 Un polar nordique. Alors que la biographie de l’auteur annonce qu’il en est à son quatrième, j’ai commencé par celui-ci qui est le troisième de la dynastie et qui affiche 1047 pages en numérique.
    Un trio d’enquêteurs haut en couleur : un chef cassé par une bavure, un arabe peu loquace sur son passé et une schizophrène se mettent en mouvement sur « un cold case » parce qu’il ressemble au cas qu’ils sont justement en train d’étudier. Sur fond de maltraitance des enfants et de sectes, le rythme rapide de ce roman bien documenté sur les divers rituels, m’a convaincue de lire les autres romans de cet auteur … mais dans quel ordre ? Ceci est ma question du moment.

    01/07/2015 à 16:40 4

  • Dossier 64

    Jussi Adler-Olsen

    8/10 Le troisième épisode des aventures de Carl, toujours victime du vieux démon de l’enquête inachevée qui a vu la mort et l’accident invalidant de deux de ses équipiers. Rose la schizo et Assad le cachotier aident cette fois Carl dans sa quête des adeptes d’eugénisme proches d’emporter des sièges lors des prochaines élections … Avec un rythme toujours aussi palpitant, l’auteur nous entraîne dans des lieux sordides et nous y découvrons des pratiques d’aliénation mentale et d’altération physique qui font frémir. Et bonne nouvelle, il y a un tome 4 … alors vite ! Merci monsieur Olsen pour ce polar nordique.

    01/07/2015 à 14:07 3

  • L'Effet papillon

    Jussi Adler-Olsen

    8/10 Le papillon c'est Marco, un jeune sans-papiers hyper futé, mendiant de profession à la solde d'un chef de gang dénommé Zola, son oncle. Nous retrouvons Carl et son équipe toujours aussi décalée, Assad et ses facéties, Rose et ses sautes d'humeur, auxquels se joint un stagiaire un peu niais et parachuté. L'intrigue nous mène dans le monde de la corruption de la haute administration danoise à grande échelle. le papillon donc va semer le désordre et en voulant s'extraire de son misérable destin. Notre Carl, fidèle à lui-même essaye de s'affranchir de sa nouvelle hiérarchie et nous permet d'en découvrir un peu sur le passé de Assad … un peu mais pas tout, il en faut pour le tome suivant ! Côté vie privée, c'est pas encore le summum pour notre héros tout à ses doutes, mais Harry se porte de mieux en mieux.
    Cet opus est le cinquième de la série et je l'ai lu juste après avoir vu « « Profanation » au cinéma. C'est toujours un réel plaisir de s'embarquer dans ces polars nordiques avec l'humour qui manquait grandement au film. Evidemment il est plus sage d'avoir lu les autres épisodes avant de vérifier si effectivement le vol du papillon va ébranler la vie des antipodes.

    01/07/2015 à 13:37 3

  • Miséricorde

    Jussi Adler-Olsen

    8/10 J’avais commencé avec cet auteur au tome 3 de ses romans. Sur conseil d’un lecteur Babelio j’ai donc repris l’ordre chronologique de parution et j’ai lu « Miséricorde ».
    Très bon choix que cet ordre. On y fait connaissance avec Carl, super flic placardisé et seul enquêteur du tout nouveau département V, celui des « cold cases ». Il a rompu avec son ex-épouse mais a hérité d'un beau-fils parasite et d'un co-locataire bon cuisinier, adepte des barbecues de quartier. Il s’adjoint son homme de ménage, un musulman énigmatique très observateur et au vocabulaire danois peu fourni, ce qui donne lieu à quiproquo cocasses.
    Quant à l’intrigue, elle mêle la politique et la vengeance avec brio et nous tient en haleine jusqu’à la fin.
    Et à la fin … on se dit qu’on va lire bientôt le tome 2 et que les polars nordique ont de l’avenir !

    01/07/2015 à 14:25 5

  • Promesse

    Jussi Adler-Olsen

    7/10 Ce nouvel épisode des aventures du Département V est un peu différent des précédents. En effet, la vie privée de Carl y est très peu évoquée au bénéfice de l’enquête menée par nos compères. Même le meurtre qui a cloué Hardy est à peine évoqué. Nous en apprenons un peu plus de la personnalité de Assad sans nouvel élément sur son passé. Par contre la part belle est faite à la chasse au gourou d’une secte et les diverses disparitions au fin fond des confins de la Suède et du Danemark oubliés, reprise par nos héros au hasard d’un suicide du précédent enquêteur. 510 pages et quelques longueurs, nos protagonistes préférés souffrant dans leur chair plus des coups reçus que des gueules de bois, moins fréquentes que dans les épisodes précédents, par contre la cigarette … Carl va falloir surveiller ta consommation ! Une bonne intrigue avec moult rebondissements parfois improbables mais ça c’est le lecteur qui en juge.
    Très bon moment de lecture qui nous fait dire … un an avant le prochain !!

    16/01/2016 à 18:53 2

  • Selfies

    Jussi Adler-Olsen

    8/10 Un conseil : ne lisez pas la 4ème de couverture à mon sens qui spolie la découverte progressive par le lecteur …
    Il s’agit là du 7ème opus de la série du Département V et il est très utile d’avoir lu les 6 premiers pour goûter pleinement les personnages. Certes, l’intrigue principale est indépendante de la vie du groupe de Carl, mais dans cet épisode précisément, peut-être plus que dans les autres, il faut au préalable aimer ces personnages pour éprouver l’empathie nécessaire, notamment avec Rose … pauvre Rose ! Assad est toujours aussi secret, Gordon aussi amoureux, Carl gère difficilement sa vie privée, privée de Mona surtout … pour le plus grand bonheur du lecteur.
    Une enquête actuelle sur un probable tueur en série va permettre au Département V d’exhumer un de ses « cold case » et de s’infiltrer dans les affaires de la « crim » de Copenhague sans y être invité. Carl a par ailleurs fort à faire avec une équipe de télévision qui cherche de l’image et du sensationnel … pour qui connaît un peu Carl on va dire que ça ne va pas se faire dans la bonne humeur. Il y aura moult coups, hémoglobine et quelques conseils en bricolage d’armes de guerre !
    Un très bon épisode et comme toujours l’auteur nous tient en haleine jusqu’au bout de ces 600 pages et nous, les accros, en demandons la suite au plus tôt !
    Si ce roman comporte un défaut, c’est le poids de sa version papier, incompatible avec l’itinérance !

    25/03/2017 à 11:49 6

  • Malamorte

    Antoine Albertini

    8/10 Une enquête sur l’île de beauté, c’est assez rare. Le narrateur, flic, est mis au placard des « homicides simples », que ses collègues baptiseront « issue de secours ». En raison de cette marginalisation forcée il a du temps libre pour parfaire son alcoolisation quotidienne et matinale. Sa hiérarchie lui confie successivement deux enquêtes au diagnostic évident et « sans appel ». Cependant, pour être au placard, notre héros imbibé n’en est pas moins fin limier et observateur caustique du microcosme insulaire. C’est sans doute en grande partie dans ce regard sans concession que réside tout le plaisir que l’on prend dans cette lecture.
    Certes, ce n’est pas l’enquête proprement dite qui fait l’intérêt de ce roman mais bien l’ambiance. Les personnages plus vrais que nature nous emmènent après quelques rebondissements surprenants à un dénouement un peu complexe et inattendu.
    Une bien agréable découverte que ce ton décalé et corrosif, cet humour bien à propos, ces quelques rappels à l’histoire récente de la Corse. N’oublions pas que l’auteur est journaliste et qu’il a commis un ouvrage d’investigation sur l’assassinat du Préfet Claude Erignac, il sait parfaitement de quoi il parle !

    24/05/2019 à 09:11 3

  • Rouge printemps

    Philippe Loul Amblard

    7/10 Sous titré « Petit thriller rural et sans prétention » on aurait pu ajouter original et rafraîchissant. En effet si l'intrigue est simple et le dénouement prévisible, le traitement est original. le style tout d'abord, avec ce recours à l'argot qui n'est pas sans rappeler Nicolas Lebel ou Nick Gardel, puis la narration, tantôt personnalisée quand elle est le fait de Max, tantôt plus classique lorsqu'il est absent, rendent ce roman léger quoique l'hémoglobine y soit très présente. Les personnages y sont attachants, en particulier Max cet ermite, médecin, qui porte assistance à Rachel et croise de ce fait le chemin d'assassins, qui ont fait de sa femme un dommage collatéral. Sortira-t-il de sa dépression en même temps que de cette épreuve ? C'est la question que se posera le lecteur au cours de ces 252 pages suivies du bonus … les recettes de cuisine bien alléchantes qui agrémentent le récit comme les calembours et autres néologismes.
    Sans prétention peut-être, mais avec le souci de nous divertir : mission réussie

    02/02/2016 à 11:06 3

  • Fallait pas écraser la vieille

    Cicéron Angledroit

    8/10 Troisième épisode des enquêtes de Cicéron Angledroit sous la plume de Claude Picq … mais où va-t-il chercher ses personnages ? Il a d’ailleurs la très bonne idée pour les lecteurs qui n’auraient pas lu les débuts de notre trio préféré de résumer les traits marquants de chacun et de ses nombreuses maîtresses (les anciennes avec qui il renoue et la nouvelle à découvrir) en avant-propos. Cette fois sa mère de substitution est accidentellement écrasée par un jeune chauffard serbe, ce qui va permettre à Cicéron de se faire financer son enquête par la mafia … Que du bonheur et de la truculence, véritable refuge dans ce monde de brutes qui nous entoure … Cicéron ne boit que de l’eau mais ses potes non … et vous ? Moi je vais remettre ça avec la suite !!

    25/06/2017 à 15:18 1