Meurtres pour rédemption

Vingt ans. Le bel âge ? Pas pour Marianne. En prison. Pour perpète. Pour meurtres. " Ils ne m'ont laissé aucune chance (..:) -Mais j'existe encore (...) Ça leur ferait trop plaisir que je cesse le combat... Je ne leur ferai pas cette joie (...). Alors, nourrir la haine, l'instinct de survie, même si l'on ne désire qu'aimer, être aimée ; pour lutter malgré tout, contre les coups, les brimades, l'ignoble. La liberté. Inaccessible. Sauf à se laisser bercer par le chant des trains, pas si loin, là, derrière les barreaux, à se laisser emporter dans leur sillage. Jusqu'au jour où ... En taule, même l'inimaginable peut surgir. Une porte s'ouvre... " La liberté, Marianne, ,tu dois en rêver chaque jour, chaque minute, non ? " Mais le prix à payer pour transformer ce rêve en réalité est terrifiant. Marianne ira-t-elle jusqu'au bout ? Jusqu'au bout de cette voie de sang ? Mais, peut-être, aussi, de rédemption ?...

Roman noir

On en parle sur le forum : Karine GIEBEL Terminus Elicius et Meurtres pour rédemption

Soumis le 11/02/2007 par athanagor

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