Ce qu'il reste

(La vita felice)

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  • 3/10 Insipide. Voilà le premier mot qui me vient après lecture. Il ne se passe tout simplement rien, et le roman est dénué de surprise ou de rebondissement. Elia se contente de nous raconter en longueur ce qui est écrit en quatrième de couverture. 260 pages c'est parfois long ! (pourtant c'est écrit très gros!)

    12/01/2018 à 16:52 OttisToole (283 votes, 7.1/10 de moyenne) 2