Anaisthêsia

19 votes

  • 4/10 J'ai voulu diversifier un peu mes lectures, mais ce coup-ci le style et le ton de ce polar ne m'ont pas plû du tout.
    Je ne dis pas que c'est mauvais, ce n'est juste pas pour moi.
    J'ai parcouru ce livre en état d'anesthésie, la gueule de bois.
    J'aurais essayé.

    27/11/2015 à 17:42 TaiGooBe (188 votes, 7.6/10 de moyenne) 1

  • 8/10 Lecture ancienne également mais qui m'a laissée un très bon souvenir. J'ai beaucoup aimé la fin.

    03/03/2015 à 11:57 bebop (9 votes, 7.8/10 de moyenne)

  • 7/10 Juste une note car lecture trop ancienne pour en faire une "analyse". Impression simple.

    24/08/2014 à 19:31 chouchou (597 votes, 7.6/10 de moyenne) 2

  • 7/10 7.5! Un très bon moment de lecture! Un univers noir et froid! un personnage brisé par la vie. fascinant tout autant que dérangeant!

    10/06/2013 à 23:16 OttisToole (283 votes, 7.1/10 de moyenne) 1

  • 7/10 Mon premier roman de chainas, un style assez particulier un peu hard on va dire. j'ai bien aimé, mais j'ai décroché dans les vingt dernières pages, la fin n'est pas trop réussie a mon goût, cela reste quand même un bon roman.

    31/08/2012 à 14:58 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 2

  • 6/10 mon deuxieme après aime-moi... encore une bonne intrigue qui reste plaisante à lire, un polar noir.

    06/04/2011 à 13:09 BERNIEnoel (136 votes, 7/10 de moyenne) 1

  • 6/10 Je ne suis pas sûre d'apprécier le style de l'auteur mais ça n'enlève rien à la valeur de ce livre. Bienvenue dans le milieu pourri des flics, de la cité, du racisme, de la vengeance et de tout ce qui va avec!

    01/09/2010 à 13:32 cadice (14 votes, 7.9/10 de moyenne) 1

  • 4/10 je n'ai pas trop aimé ce livre, avec un personnage principal pas très sympathique et à la limite du crédible.

    19/08/2010 à 13:57 gamille67 (2295 votes, 7.3/10 de moyenne) 1

  • 9/10 Un excellent chainas comme d'habitude après aime moi casanova et versus toujours un univers cauchemardesque, éprouvant et déjanté qui ne plaira pas à tous ... et j'adore en plus son style d'écriture très original... un auteur à suivre !

    09/05/2010 à 17:29 JEDIVE (123 votes, 7.6/10 de moyenne)

  • 9/10 Un bon petit bouquin, vite expédié, ça sent bon le nihilisme des premiers Dantec (sans en atteindre le génie), c'est cynique et violent, c'est court et nerveux, ça pue la crasse, ça frôle le ridicule, c'est complétement pourrie, ... c'est vachement bon.
    J'avais déjà beaucoup aimé le précédent bouquin de Chainas, "versus" , c'est la même came sauf que versus était un peu trop confus dans l'intrigue, du coup sur "Anaeisthesia" il a apparemment rectifié le tir pour se concentrer sur ce qui fait son charme : une ambiance "entre sauvagerie ultra-réaliste et cauchemar éveille".

    09/05/2010 à 16:50 Raoul (18 votes, 7.7/10 de moyenne)

  • 5/10 il a une chose de ur c'est que l'auteur à un style qui lui est ptopre et qu'on reconnait de loin. cependant niveau itrigue c'est super léger et du oup le roman ne se tient pas.

    24/04/2010 à 21:32 rossonere (309 votes, 7.2/10 de moyenne)

  • 9/10 Versus était une bombe littéraire, Anaisthêsia est un excellent polar. Bien sûr, il faut aimer la noirceur à son paroxysme, bien sûr il faut aimer le style... Antoine Chainas réussit à ne pas décevoir après des premiers pas très prometteurs. Même si j'ai préféré l'intrigue de Versus, j'ai beaucoup apprécié l'ambiance de celui-ci ainsi que, pour la forme, les chapitres plus court qui donnent plus de rythme au polar !
    Un grand romain noir !!!

    28/03/2010 à 13:45 Yukio (76 votes, 7.6/10 de moyenne)

  • 7/10 Un style radical et efficace. Des personnages forts en gueule. Beaucoup de noirceur. De belles descriptions et des réflexions très intéressantes. Bref, un roman noir qui vaut le détour malgré une intrigue un peu faible.

    17/07/2009 à 16:49 Hoel (1141 votes, 7.6/10 de moyenne) 1

  • 6/10 Il est très difficile d'accrocher au style d'Antoine Chainas tant il est omniprésent. Malgré de bons passages l'intrigue n'est qu'un accessoire ici.

    08/07/2009 à 10:05 Memess (262 votes, 7.5/10 de moyenne)

  • 5/10 Très surfait. Je n'apprécie pas le style de Chainas. Ses listes, ses descriptions "savantes" pour moi c'est trop. pas d'intrigue pas de suspense.

    30/06/2009 à 17:05 Mamen (492 votes, 7.8/10 de moyenne)

  • 9/10 Antoine Chainas porte les personnages et les situations de ses romans au paroxysme pour mieux peindre les enjeux sociaux qu’on oublie trop souvent. Embrumé par une société du spectacle, l’individu modèle aime davantage se rassasier de l’apparence des médicaments bien emballés par les atours de l’illusion de la consommation.
    « Les nomenclatures et les marques sont les dernières choses auxquelles ceux qui ne croient plus se raccrochent ». Le premier message que nous lance sa dernière composition, « Anaisthêsia », pourrait se comprendre en ces termes.

    Désiré Saint-Pierre est le premier flic noir du groupe et il permet à la police de montrer que le racisme n’a pas lieu dans sa cour ; ainsi elle tirera profit de la société du spectacle pour faire sa publicité. Mais celui qui n’est pas au fond désiré dans son commissariat ne l’est guère plus dans sa cité natale qu’il refuse de quitter. Il est même considéré comme un traître.

    A la suite d’un accident, Saint-Pierre a perdu toute sensation de douleur, sa propre douleur et celle des autres. Ce nouveau statut lui fait porter un regard sans humanité sur son entourage. A côté, on retrouve un monde qui ne souffre plus, un monde qu’on essaie de nous refiler à tout bout de publicité et de marketing politique et commercial. Les descriptions de l’anesthésie qu’il subit nous font plonger dans son cerveau qu’on décrit et examine comme cette société de publicité qui dissèque l’homme pour mieux lui mettre les bons produits à l’intérieur, « On incise ton abdomen en Y. Du coup au pubis. Une lame de 26 fera l’affaire. La main gantée d’un Surgegrip GO47 en nitril vert découpe ton gril costal à la cisaille de Liston en s’aidant si adhérences, d’une rugine courbe pour racler les os. On insère un écarteur autostatique de type Weitlaner On prélève tes organes à l’aide d’une pince de dissection… »
    Chainas semble reprendre aussi un thème qui lui est cher, la corruption des êtres, ces personnages sont plus qu’à la marge, ils sont de l’autre côté de la bande jaune pour faire contraste avec les règlements acceptés ou tacites. Désiré, sans scrupule, va même jusqu’à prendre un kilo de cocaïne pour dealer. Au milieu de l’atmosphère glaciale du roman, une liaison, qui aurait pu être forte avec Rachel devenue droguée grâce à la montagne de poudre du flic, n’apporte pas de soulagement à la tension tranchante du récit.
    Les parties fines - ou plutôt dures - organisées sur un yacht rappellent que l’homme peut redevenir esclave à part entière dans une société qui esquive les principes martelés devant les néons de la bienséance. Ou même animal avec l’animal.
    Le style plus tempéré – quand je compare avec « Versus » - sur des constructions simples redouble d’efficacité pour brosser un tableau noir teinté d’humour d’une société qui peine à s’élever, « Désormais, les couleurs, sombres ou claires, sont uniformisées par la pluie et la boue. Elles ne signifient plus rien ».
    L’intrigue autour de la Tueuse aux Bagues n’est qu’un ingrédient pour servir le tableau du romancier qui livre un roman noir sans être vraiment policier.

    Un roman fantastique, qui me donne envie de lire la suite. C’est pour quand Antoine ?

    29/05/2009 à 04:31 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1

  • 5/10 Pendant 3/4 du livre, l'histoire est prenante, ensuite cela devient plus ou moins absurde. Pour le style, il faut aimer, je trouve cela surfait, il en fait beaucoup trop dans les déscriptions ultras précises, on a l'impression de lire des notices. Je trouve le style ampoulé.

    14/05/2009 à 12:06 terramater (305 votes, 6.6/10 de moyenne)

  • 8/10 8.5
    superbe, M. chainas, confirme son indeniable talent et son "style" ce qui est rare et donc précieux, préannoncé avec versus...le meilleur est à venir

    28/04/2009 à 09:06 holden (280 votes, 7.9/10 de moyenne)

  • 9/10 Le fond a quelque chose de Palahniuk et une précision façon Necropolis de Lieberman. La forme m'a fait penser à Ken Bruen. Un roman choc qui va devenir une référence du genre.

    13/04/2009 à 18:16 MiKa (275 votes, 7.5/10 de moyenne)